Avant toute chose, il faut savoir que j’ai un très gros kink sur les sous-vêtements, qu’ils soient féminins ou masculins. Ce ne sont pas tellement les fortes odeurs qui me plaisent mais les odeurs de l’autre tout simplement, savoir que ça a été porté et aussi le contact avec le tissu.
Pour un peu de contexte, ma boîte propose du sport entre midi et 15h et met des équipements à disposition de ses employés, j’en ai profité pour m’inscrire pour le handball, tous les mardis. Qui dit sport collectif, rime avec vestiaire collectif et vestiaire collectif, ça rime avec mélange de tout le monde. Tout pour me plaire, déjà la vue de beaux mâles bien foutus et jeunes (le plus vieux ayant 35 ans) mais surtout la proximité des corps et la proximité avec les affaires des autres.
Ce mardi-là, je devais partir plus tôt car j’avais un rendez-vous professionnel avec des personnes à plusieurs kilomètres, je me suis donc retrouvé seul dans le vestiaire, je me suis chauffé tout seul et je me suis décidé à faire le tour de tous les sacs.
Jean, minet blond de 19 ans au petit cul musclé, avait laissé traîné un caleçon en tissu mais il n’y avait presque aucune odeur, dommage, Alex, le trentenaire avec une petite bedaine confortable, avait laissé traîner une paire de chaussettes bien usées et sans doute portées depuis plusieurs jours vu leur odeur, pas mon délire. Finalement je me suis arrêté sur les affaires de Mathis, un caleçon en lycra et une paire de chaussettes colorées, l’odeur, bien que légère m’a convaincu.
Mathis c’est le mec plutôt musclé qui te dit qu’il ne fait pas de sport. Ses muscles sont saillants et son cul est bien rebondi, le genre de fessier entretenu à la salle. Ça m’avait surpris la première fois au vestiaire parce que ses pantalons cachaient hyper bien ce beau cul. Le nez collé à ses chaussettes, une main sur la bosse de mon boxer, je faisais monter la pression au fur et à mesure. Ça ne sentait pas fort, mais le mélange de sueur, de parfum et de «propre» m’a filé une gaule d’enfer. Une fois le nez dans son freegun, j’ai déballé mes centimètres et j’ai commencé les vas-et-viens. Je suis resté assis sur le banc, seul, à me branler lentement, profitant des odeurs de ma proie, j’étais tellement excité que ma queue luisait de lubrifiant, je mouillais presque comme une nana. Comme j’entendais les autres finir de jouer, j’ai accéléré le pas et me suis branlé comme un animal. Déjà en sueur à cause du sport, je suais encore plus et le plaisir n’en était que décuplé. Finalement, après avoir bien profité j’ai explosé et giclé en plusieurs jets dans la douche avant de ranger tout ce beau bordel.
Ce petit manège, je vais le répéter chaque semaine qui suit, changeant de cible au gré de mes envies. Les neuf mecs qui participent sont tous beaux à leur manière, ou en tout cas, ils ont tous un petit quelque chose qui me fait envie et je me délecte tous les mardis de leurs sous-vêtements. Une routine s’était installée, jusqu’à un autre mardi. Comme d’habitude, j’avais jeté mon dévolu sur un caleçon ou une paire de chaussettes, il m’arrivait d’en enfiler sur ma queue pour me branler avec et cette fois-ci ne dérogeait pas à la règle. Sauf que cette fois-ci, sans l’entendre arriver, Peyo était rentré dans le vestiaire. Il est ce mec un peu trapu, épais, style rugbyman, un peu brute. Problème, c’était dans l’une de ses chaussettes que ma queue était enfilée. J’ai poursuivi sans savoir que j’étais observé, ça a sans doute duré au moins 5 minutes avant qu’il ne se racle la gorge. Poussée d’adrénaline, je me souviens avoir titubé, toujours la bite à la main et caché du mieux que je pouvais avant de me retourner finalement pour tomber nez à nez avec Peyo qui se dessapait, lui aussi dur comme un âne. Sa poutre se dessinait dans son boxer, j’étais surpris et en même temps, j’avais envie d’en savoir plus. En me désignant du menton, il m’a dit un truc du style : « C’est à moi ça non ? ». Et sans rien dire de plus, il s’est dirigé vers mon sac et en a pris mon caleçon humide que je venais de retirer après le sport pour le porter à son nez et prendre une grande inspiration. Je suis resté là, bouche bée, la queue toujours dans sa chaussette, le regardant faire. Il s’est déshabillé, s’est posé sur le banc du vestiaire et a commencé à se branler en reniflant mon boxer. Sa queue était courte, mais impressionnante par son épaisseur, il jouait avec son prépuce, lentement puis vivement, il alternait les plaisirs et semblait réellement kiffer. Me voyant immobile mais toujours dressé, il a jeté à mes pieds son boxer transpirant, je l’ai ramassé, l’ai porté à mon nez avant de reprendre ma besogne en le regardant droit dans les yeux. Ne pouvant tenir davantage, j’ai retiré la chaussette pour jouir sur le sol du vestiaire, Peyo en faisant autant avec un grand sourire. En silence, nous avons pris notre douche séparément. Dans l’après-midi, j’ai eu le droit à un doux message sur whatsapp, me remerciant.
Suite
Après cette branlette en face à face avec Peyo et sa poutre, j’appréhendais beaucoup les prochains mardis alors la semaine qui suivait, j’ai prétendu avoir beaucoup trop de boulot pour ne pas y aller. Il faudra donc attendre la semaine d’après pour que j’y retourne, notamment parce que sans mon sport j’ai du mal à me canaliser, à me concentrer et que je voulais que d’autres trucs du genre m’arrivent. La première semaine du retour fut calme et sans action, j’ai cependant bien remarqué que Peyo me glissait des regards insistants. De la même manière, sous la douche, alors qu’il ne restait que nous deux sous l’eau, je l’ai bien vu se savonner la queue de long en large, au point de la voir se dresser, mais bizarrement, même si j’avais envie d’y aller, quelque chose me retenait.
La semaine suivante, j’étais décidé à aller plus loin donc pendant la séance, j’ai jeté un petit regard à Peyo et lui ai mimé sa queue dans ma bouche. Ni une ni deux, il partait déjà pour les vestiaires alors en m’excusant auprès des autres pour un rdv dans l’après-midi (comme avant), j’ai rejoint le rygbyman aux vestiaires. Quand je suis rentré, il m’attendait, la queue bien tendue dans son boxer. Je suis pas du tout dans les délires bdsm et domi/soumi mais quand il m’a ordonné : « File moi ton caleçon et mets-toi à genoux. », je me suis exécuté. Peyo était encore transpirant et le cul posé sur le banc du vestiaire, moi j’étais à genoux, sa queue à quelques centimètres du visage. On se sentait l’un l’autre, lui avait mon caleçon sur le nez, prenant de grandes inspirations. Le sien était humide, presque mouillé, bourré d’odeurs. Sa queue était dure et ne demandait qu’à sortir alors sans me faire prier, après avoir longuement massé l’épaisse bosse, je l’ai libéré. Sa queue non circoncise était épaisse, plutôt courte, ses couilles de la même envergure ne dénotaient pas et le tout était soigné, les poils taillés. Je l’ai pris en bouche et j’ai commencé mes vas-et-viens. Je le suçais, reniflait son boxer humide, le branlait, il était aux anges et sa queue qui se durcissait me le faisait savoir. Après de longues minutes, il a fini par m’exploser au visage, j’ai retenu ce que je pouvais en bouche mais à mon avis, il se retenait de jouir depuis quelques jours déjà vu la quantité. De mon côté, j’ai enfilé l’une de ses chaussettes sur ma queue et me suis vidé à l’intérieur, lui laissant un savoureux cadeau pour plus tard. Pendant la douche quelques instants après, Peyo m’a expliqué que c’était un exutoire pour lui et que malgré sa copine, il faisait ça de temps en temps pour se vider la tête, pour mon plus grand plaisir.
Les semaines qui ont suivi, nous avons remis le couvert de temps en temps, Peyo ne captait pas toujours les signaux et je pense qu’il ne venait que quand il avait envie de se faire pomper. Je lui ai bien proposé d’aller plus loin quelques fois mais en dehors de me sucer (mal qui plus est :/ ) il n’a jamais réellement voulu franchir la ligne, j’adore sucer donc ça ne me gênait pas trop et en plus je prenais un grand plaisir à avaler son nectar à chaque fois. Chaque fois que je me délectais de sa queue, j’en découvrais de nouvelles facettes. Tout ça nous amène aux vacances de Noël. La boite avait organisé un apéritif de fin d’année pour tous les collaborateurs et naturellement, tous les mecs du handball étaient ensemble. En fin de soirée, vraiment alcoolisé, Peyo a laissé sous-entendre que les vestiaires sentaient le cul quand lui et moi étions seuls dedans. Évidemment, tout le monde a rigolé puisque tout le monde semblait déjà bien au courant ou au moins avait des soupçons, et par tout le monde, j’entends 3 autres mecs de l’équipe encore debout à cette heure là : Mathis, le grand sportif au cul rebondi dans la vingtaine, Benjamin, le cadet de 17 ans en apprentissage un peu perdu (dans la boite et en dehors) et surtout Enzo, minet de 22 ans, mi-racaille, mi-folle, toujours sapé en costume au bureau (sans doute très gay même s’il n’en parlait jamais).
A la rentrée de Janvier, j’ai eu beau envoyer des signaux à Peyo, il ne semblait pas du tout y faire attention. Une semaine, deux, puis trois, il semblait ignorer les appels, peut-être qu’il voulait se cacher après son dérapage à Noël. On était bien loin d’une quelconque forme d’amour mais je commençais vraiment à aimer cette épaisse queue, dommage. Finalement, je me suis résigné à reprendre mes précédentes activités, à savoir, fouiller les sacs pour me faire plaisir avec les affaires des autres. La surprise est arrivée au moment où je suis rentré dans le vestiaire, je suis plutôt silencieux et tout le monde sait que je pars plus tôt alors je ne m’attendais pas du tout à surprendre le petit Enzo à genoux devant Peyo, en train de s’étouffer sur sa queue. Une surprise oui, mais une bonne. Comme Peyo l’avait fait avant moi, je n’ai rien dit, j’ai déballé ma bite et j’ai simplement commencé à me toucher, quel spectacle. Enzo a bien eu un mouvement de retrait quand il m’a remarqué mais sa gorge était pilonnée par le rugbyman alors il a simplement continué. Quand Peyo a joui, Enzo s’est proposé de me finir à la bouche mais trop tard, je venais d’assister à un spectacle trop excitant, j’ai explosé sur le sol. La douche fut silencieuse …
Suite
Après ce plan à trois inattendu, Peyo a carrément arrêté de venir aux entraînements … Sans doute la peur d’être catalogué « gay » ou « bi », mais Enzo lui, m’a fait savoir par messages qu’il aimerait bien remettre le couvert et que quelques soient mes kinks, il allait s’y plier. Alors j’ai commencé par lui dire que j’adorais les chaussettes, et lui, le moment venu, me donnait ses chaussettes à renifler pendant qu’il me suçait. Boxer odorant et humide, j’avais le droit à son boxer odorant et humide, une merveille. Je lui demandais de la lingerie féminine, il arrivait avec, il semblait apprécier le fait de me faire plaisir. Quand je lui ai dit que je voulais qu’il se branle en même temps, il a enfin déballé sa longue queue. Elle était vraiment longue, hors proportions pour un corps comme le sien. Enzo était imberbe, style minet, pas de gras, pas de muscles, très typé, sans doute métisse ou rebeu, pas vraiment mon style de prime abord. Il arrivait parfois avec une courte barbe éparse mais quand il se rasait il était hyper canon. Et cette queue, immense, circoncise, peut-être la plus longue que j’ai eu l’occasion de voir nez à nez, peut-être autour de 20 cm ou plus, ma seule comparaison étant mon 16-17 cm entre les jambes. Quand je lui ai demandé s’il voulait aller plus loin, il m’a dit qu’il n’était qu’actif, alors la semaine suivante, je savais ce qu’il me restait à faire.
Rendez-vous était fixé. Le jour J, je l’attendais dans les vestiaires et quand il est arrivé il s’est directement déshabillé et m’a invité à faire de même pendant qu’il verrouillait la porte. Je me suis cambré sur un banc et lui ai offert mon meilleur profil dressé vers lui, dans mon plus beau jockstrap. Je reniflais son freegun, humide, des odeurs de mâle, sans doute un peu mouillé par la queue d’Enzo qui devait attendre ce moment depuis le matin. Un vrai bonheur.
Il a commencé avec sa langue, jouant autour de mon trou épilé pour l’occasion, glissant quelques doigts, mais je pense qu’il était déjà très excité car ça n’a pas duré et le bout de son gland pointait son nez. De petites pressions pour commencer, puis de plus fortes et sans vraiment sentir de douleur (j’appréhendais la taille) il était dedans et faisait ses vas et viens. Il savait y faire, caresses, baisers, il alternait entre baise intense et moments de douceur, un vrai bon baiseur. Quand est venu le temps de jouir, je lui ai dit de finir en moi, de toute façon, nous prenions une douche après ça. Son jus était chaud, épais et conséquent. Une douche rapide et nous étions déjà en train de planifier la fois suivante. On a recommencé deux fois mais passés très près du désastre en étant surpris nous avons préféré nous voir en dehors des « heures de travail ».
Je vois encore Enzo de temps en temps, c’est toujours un excellent amant. Mais globalement, en dehors de mes vols de sous-vêtements, rien de pimenté n’est plus arrivé.