Voici une histoire qui s’est passée ce lundi 11 mars, un lundi de repos…
Comme tous les jours après le petit déjeuner, j’allume mon tel et les applis m’envoient leurs notifs de la nuit.
Évidemment, je reçois une réponse à une flamme envoyée la veille d’un mec avec qui je dial depuis plus de 5 ans sans qu’on ait pu se rencontrer. Il est 7h49 et pas encore douché.
Ce mec a 28 ans mesure 1m70 pour 58kg et sur son profil grindr, il est actif et mega canon.
» – Merci Mister! » me dit-il
– De rien. Ça va toi ? T’étais dans la famille en week-end ?
– Oui, un long week-end et toi tu es toujours en week-end ?
– Oui et seul !
– Seul ? Et c’est rare ?
– Suis marié.
– Non ? je ne savais pas depuis le temps…
– Eh oui avec une femme, nul n’est parfait !
– Discrétion ou elle sait ?
– Discrétion !
– Ok.
– J’ai grave faim pourtant
– De ?
– Sexe
– Genre ça ? »
Et il me balance 3 photos de son corps bronzé en total érection.
» – genre ça en effet ! «
Et cette fois c’est moi qui envoie quelques photos explicites de mes fesses.
On a, tous les deux, enflammé chacune de nos photos.
» – Belles fesses ! » me dit-il
» – De belles fesses pour une jolie queue, je les prépare lorsque tu vas venir.
– Tu peux dans la matinée ?
– Oui.
– Aux alentours de 10h ?
– Parfait ! »
Je lui donne mon adresse, il est alors 8h26.
Je file sous la douche pour pouvoir l’accueillir comme il se doit.
9h52, il est dans le garage. Je referme la porte et l’entraîne à l’étage où je lui propose de prendre un café. Il décline et me demande un verre d’eau qu’il boit tranquillement devant les baies vitrées en admirant la vue bien grise des nuages au loin.
Je m’approche de lui alors qu’il s’est retourné, lui prends son verre et le dépose sur la table puis c’est sur sa bouche que je dépose un baiser.
Il me le rend et je sens sa langue se frayer un chemin vers la mienne. Tout en écartant mes lèvres, nos langues se mélangent, s’apprivoisent, se découvrent et se complètent.
Nos mains ne sont pas en reste, chaque parcelle de nos corps se découvrent sous nos doigts agiles.
Les caresses sont de plus en plus appuyées de nos cheveux à nos dos en passant par nos tétons sans lâcher nos langues.
Puis mon bel apollon passe ses mains sous mon pull et caresse mon torse. De ses mains, il me le soulève et je me retrouve torse nu au milieu de la cuisine.
Je mordille son oreille et lui rend la pareille.
Nous sommes là, tous les deux, torse contre torse, à s’embrasser, à se caresser.
» – On va dans un lieu plus adéquat » me dit-il.
Je l’entraîne vers la chambre et nous reprenons nos galochades et nos caresses à côté du lit.
Les pantalons tombent et les mains s’agitent sur nos sexes à travers nos boxers.
Je m’agenouille et lui lèche la queue à travers le sous-vêtement tout en insistant bien sur le gland.
Je me relève et l’embrasse. Il me susurre à l’oreille :
» – et si on essayait dans le salon maintenant ?
– Ok, va t’asseoir sur le canapé, je prends ce dont on aura besoin et j’arrive.
Mets-toi en mode Pacha. »
Ne se faisant pas prier, il file dans le salon et se met jambes écartées sur le canapé.
Cet apollon, bien calé au fond, qui transpire le sexe me donne envie de le dévorer. Je m’applique à l’exciter sans lui poser son caleçon tant et si bien qu’il me repousse, se lève et se fout à poil totalement. Il se rassoit et je me remets à le pomper en commençant lentement par ses couilles que j’ai prises dans ma main et que je lèche et suce une par une pour les mettre toutes les deux dans ma bouche ensuite. Ma langue s’amuse à les malaxer tout en les happant. Puis je lâche ses boules et je remonte sa hampe en prenant soin de titiller son frein et son mât avant d’aspirer son gland et d’engloutir sa queue entière dans ma bouche.
Je monte et descends sur sa belle queue pour lui prodiguer de belles gorges profondes. Je l’entends soupirer et gémir ce qui me motive encore un peu plus.
Il me repousse un peu tout en gardant sa queue au chaud et se met debout, pose ses mains sur mes joues et se met à me baiser littéralement et fortement la bouche en allant toujours plus vite et plus loin, plus fort. J’en salive…
Lui si câlin et si doux depuis le début me montre sa puissance puis revient à des mouvements simples et doux. Il se rassoit et je me remets à lécher ses jolies couilles.
Il passe ses mains dans mes cheveux, se penche vers moi et me dit :
» – Relève toi !. »
Je me mets debout et il prend ma queue en bouche et commence à bien libérer mon gland tout en la faisant grossir dans sa bouche. Ma tête part en arrière tellement c’était bon.
Il me suce un long moment ainsi alternant douceur et vigueur.
Ensuite, je le vois se lever, se mettre derrière moi et frotter sa queue sur mon cul.
Je crois que j’ai compris le message. Il saisit la capote posée sur la table basse et commence à l’installer. Je pose ma bouche sur sa queue et déplie la capote avec ma bouche et ma langue.
Je me mets à genoux sur le canapé, lui derrière, un peu de gel et c’est parti. Il entre lentement en moi sans me faire mal et commence ses va-et-vient tout en douceur.
» – tu es bien ? » me demande-t-il !
» – parfaitement bien et toi ?
– oh oui. Ton cul est merveilleux ! »
Et comme si c’était ce qu’il attendait, il accéléra ses mouvements, amples rapides, puissants. Je crie, je couine, je l’encourage même. Il ralentit, me caresse, me claque le cul puis repart à un rythme endiablé.
Ces enchaînements vont bien durer 20 min où mes yeux se révulsent de plaisir à certains moments.
Il sort de mon cul mais ne pose pas la capote et il bande toujours aussi dur.
» – On inverse ? Tu es versa ? Moi aussi !. » me demande-t-il la voix pleine d’assurance.
« – D’accord ! Prends ma place sur le canapé ! » lui dis-je.
A mon tour, je m’ encapuchonne la queue, passe du gel sur son trou et glisse 2 doigts dans son trou serré. Je me dis que je vais bien être au chaud là-dedans.
Je présente mon gland à l’entrée et je pousse. Je rentre bien plus facilement que je le pensais. Il est serré comme j’aime. Il est versa mais ne doit pas souvent se faire prendre.
Je pose mes mains sur ses épaules et je commence de longs mouvements amples pour être bien à l’aise. Une fois que je le sens bien ouvert, j’accélère mes mouvements. Plus j’accélère, plus il gémit et plus j’ai envie de le pilonner.
« – Vas-y défonce-moi, je veux que tu te vides en moiiiii !! » me dit-il avec sa voix qui part dans les aiguës sur un coup de queue plus appuyé.
Ces simples mots ont sur moi tout l’effet attendu. J’accélère à fond et hurle ma libération qui se répand dans la capote.
Je ressors et il se relève, me regarde, m’embrasse et me montre qu’il n’a pas debandé et qu’il a encore envie.
» – Remets-toi à ta place, je vais me finir en toi. On sera à égalité !
– J’ai joui, je sais pas si je vais supporter les coups de butoir !. »
Mais je le fais quand même.
Il rentre un plus difficilement car je me suis resserré.
Il va littéralement me démonter pendant 3 min avec une force qui m’a permis de jouir du cul en plus.
J’étais totalement parcouru d’électricité dans tout le corps à trembler de plaisir.
Mon dieu que c’était bon !
On s’est assis sur le canapé, on s’est embrassé, remercié pour avoir pris autant de plaisir à chacun. Il était alors 11h40.
Nous sommes ensuite partis à la recherche de nos habits dans les différentes pièces de la maison.
Puis je l’ai remis dans sa voiture et il est rentré dans sa famille finir son week-end. Quant à moi, j’étais tellement en feu que j’ai remis ça l’ après-midi avec un régulier. Puis avec une nouvelle salope très prometteuse. Autant vous dire que lundi soir j’étais HS.