Le cousin éloigné

Le cousin éloigné arrive à l'anniversaire du grand-père pour une réunion de famille, c'est le soir où l'histoire va prendre tout son sens...

L’histoire s’est passée à l’année de mes 18ans. Déjà petite présentation, brun, plutôt fin mais assez dessinée, quelques abdos qui faisaient craquer à l’époque, plutôt du style twink, 1m72.

Je place le décor, réunion de famille suite à l’anniversaire de mon grand-père. Beaucoup d’invités, fratrie, oncle, tante, cousins, cousines… bref une fête de famille standard.

A l’époque, j’avais déjà eu quelques aventures avec des copines et quelques vues sur des garçons mais je n’avais jamais franchi le pas.

La fête se déroule et je croise un garçon de la famille éloigné que j’avais déjà rencontré, il y a plusieurs années.

On a le même âge, donc le courant passe assez bien. Lui, Gabin, brun, musclé par le sport intensif de boxeur, 1m75, avec un côté ténébreux.

La journée passe, les bières et autres alcools s’enchaînent. On rigole et vraiment un bon feeling s’installe.

Vers les coups de 14h, il m’invite à le suivre à l’extérieur pour être un peu tranquille et parler entre jeunes dans sa voiture. On quitte alors la fête et on va se poser. Il se met au volant et moi côté passager avant. On commence à parler ensemble, de notre lien et on voit qu’ au final bien qu’on soit super éloigné on a énormément de ressemblance. Même corpulence, même centre d’intérêt … on en vient à se dire que c’est bête que l’on ne s’est  pas rencontré avant. La discussion s’enchaîne et on en vient à parler de relation et de sexe.

On compare nos styles de fille, et au fil de la conversation je lui explique que je sors d’une relation plutôt compliquée et je me sens assez perdu côté sentimental. 

Lui de même cela fait quelque mois qu’il n’a pas eu de copine, et qu’il a vraiment envie de sexe.

On parle de nos fantasmes et je vois qu’il se dandine un peu sur son siège comme s’ il était inconfortable, et il tire un peu sur son pantalon. Rien qu’à savoir que notre conversation et l’alcool faisant, l’imaginant bander me provoque immédiatement une érection du tonnerre.

Je me retrouve alors un peu gêné mais étant dans la voiture et assis, il ne voit rien. Du moins je présume. Il me dit alors :

– fait chier, avec notre conversation, je bande comme un cheval, puis éclate de rire.

Je rigole à mon tour, mais avec une pointe d’excitation quand même.

– Bas ouai moi aussi, ça va être beau quand on va retourner dans la salle.

– Tu m’étonnes, en plus j’ai personne et j’ai trop envie de me vider. Ce soir, ça va être branlette.

– Ha bah moi aussi je pense bien.

On rigole de nouveau et il me propose alors une cigarette, ne fumant pas je refuse et par respect, dit alors :

– Ha ok, bah viens on sort je vais pas t’enfumer dans la voiture et ça fera passer notre gaule.

– Ouais bonne idée, j’espère qu’on débandera.

On marche un peu dans les rues adjacentes à la salle je le préviens alors que l’heure tourne il va être 16h30 et va quand même falloir qu’on rentre. Il me dit :

– J’ai pas encore débander fait chier. 

Et d’un coup il me met la main sur mon jean au niveau de ma bite.

– A ce que je vois toi non plus. 

Gêné mais cela me fait durcir à fond. Il rigole et me tape dans le dos en disant.

– Allez t’inquiète c’était pour rire, le prend pas mal. Vient on rentre.

De retour dans la salle, quelques invités étaient déjà partis, mais le moment du gâteau était arrivé. 

Je prends une part et je vais m’asseoir, Gabin décide alors de prendre une chaise et de s’asseoir à côté de moi. On parle des personnes présentes et de la musique qui passe. 

Ma mère arrive et me dis :

– Trop bien que vous vous entendez bien.

Elle me regarde et me dit : 

-« On a un petit souci, est-ce que ça vous dérange si vous dormez ensemble cette nuit ? » J’ai proposé ta chambre à ton oncle, il a 4 h de route et je ne préfère pas qu’il rentre aujourd’hui.Mais du coup vous dormiriez à deux chez ta grand-mère.

Regardant alors mon cousin je commence à répondre :

– euh … quand d’un coup il me coupe et dit :

– Non aucun souci, je flippais un peu de dormir solo sans connaître personne dans l’habitation. Du coup ça sera nickel et je le ramènerais en voiture. Sauf si ça te dérange ?

Il pose à ce moment sa main sur mon genoux et me fait un clin d’œil. Sur le moment, j’ai eu un frisson d’excitation mais je ne m’emballe pas et je dis alors :

– Ha non non, on peut faire ça.

– Parfait les garçons. Encore merci.

La fête continue, sur la soirée, je vais danser un peu, il me rejoint et me dit :

– Il commence à être tard (20h) et je pense que les grands-parents vont rester encore je vais rentrer j’ai récupéré les clés, tu viens ?

– Ouais ouais sans soucis. Je préviens qu’on rentre.  

Cela m’arrange, ça m’embêtait de rester encore plus.

Je passe vite voir mes grand-parents les prévenir. Ils me disent qu’ils vont rentrer tard et donc de faire comme chez nous.

Dans ma tête, l’idée de passer la nuit avec lui m’excite déjà mais je m’emballe pas c’est impossible.

Je le rejoins à sa voiture, et on fait la route tranquillement en reparlant de la fête. On arrive sur place, connaissant les lieux, je lui dis que c’est tout en haut au 2ème sous les combles une salle pour les « jeunes » comme disent les grands-parents. Un comble aménagé, qui était une salle de jeux, au final réaménagé comme un squat par mes cousins et moi avec des bric à brac de jeunesse et nos vieilles consoles. On monte et je lui indique le clic-clac.

– si tu veux tu le prends, je dormirais sur la chauffeuse.

L’idée ne me plaisait pas trop mais bon honneur aux invités.

– Non, non tu ne vas pas dormir là dessus, c’est pour les enfants. T’a beau être petit tu rentres pas dessus. Dors avec moi on s’en fout.

– Ok si ça te dérange pas. Par contre, avant je vais aller prendre une douche vite fait.

– Ouais moi aussi. Tu peux me montrer où c’est.

– Ouais viens !

On se dirige, je lui montre où sont les serviettes et je le laisse aller en premier.

– Bon allez je remonte, je te laisse.

Fermant la porte derrière moi, je décide d’aller dans le bureau se trouvant à côté. J’entends alors l’eau couler, et rien que de l’imaginer nu derrière cette cloison me provoque une trique monumentale. Je m’imagine mille et une choses. L’eau s’arrêtant me fait revenir à mes pensées et il me demande de venir.

Je fais mine de redescendre du 2eme.

– je rentre, j’espère que t’es pas à poil. (Même si le contraire m’aurais plus) 

–  Mdr aller entre comme si t’en avais jamais vu et puis t’a peur de quoi.

– Moi, de rien, t’inquiète j’ai pas de quoi me plaindre.

– De ce que j’ai pu toucher tout à l’heure c’est sûr.

Ses nombreuses allusions me font douter sur plusieurs choses.

J’entre alors et il est en train de se sécher, encore nu avec une queue assez fine mais plutôt longue au repos, entièrement lisse rasé de près avec une légère ligne de poils remontant au nombril. Mon regard remonte vite pour pas qu’il croit que je le mate.

– Tu vois rien de bien méchant. Mais par contre en action ça devient un monstre.

– Mais oui bien sûr. Le Lockness c’est toi. 

– Bah oui un vrai monstre, les filles en raffolent. Bon aller va te doucher. 

Je reste planté pendant qu’il continue de se sécher.

– Bah t’attend quoi ? 

– Bah tu ne vas pas rester. Si ?

– Bah tu viens de me voir à poil et puis avec ton foot dans les vestiaires vous devez aussi être à poil ça te dérange vraiment ou t’as peur de pas avoir le même niveau c’est ça ?

– Ha non non pas du tout, si ça te dérange pas toi. 

Je commence alors à me déshabiller, mais avec une demi molle qui j’espère, il ne va pas remarquer. Je prends une serviette avant et cache ma bite. Et je fonce sous la douche. Lui était devant le lavabo à se brosser les dents. Étant sous l’eau, je ne vois pas grand chose avec la buée sur les parois. Mais je bande comme un fou à savoir qu’il est là nu juste à côté, je l’entend alors rigoler et s’exclamer.

– Au vu de ta silhouette, t’es ultra excité  coquin. 

Merde il m’a vu.

– Bah ouais je pensais me branler ce soir mais bon ça sera pas possible.

– Ha Ouais merde moi aussi fait chier. Mais en tout cas, tu ne mentais pas, t’as pas l’air d’avoir un petit truc.

– Haha et ouais. Comparé à toi c’est déjà plus grand. 

– Ça reste à voir ça, je bandais pas moi. Bon allez je remonte.

– Attends… je viens de penser, j’ai pas de rechange je devais pas dormir ici de base.T’aurais pas un truc à me dépanner ?

– Haha t’es dans la merde hein. Bah va falloir venir le chercher et le mériter.

– Tu fais chier aller donne un truc.

– Non. Au pire, tu dormiras à poil, c’est pas mon soucis et je m’en fous. Allez je remonte. Première épreuve, monter nu et traverser la maison nu. 

L’idée ne me déplaît pas d’un côté, mais de l’autre l’idée que cela n’est qu’un jeu va me frustrer. Mais bon « let’s go ». Je sors de la douche, me sèche et je prend une brosse à dent neuve dans un tiroir. Une fois fini, je regarde l’heure. 22h déjà, la fatigue commence se faire sentir, avec la journée et l’alcool, je monte donc nu et j’entre. Je le vois en boxer sur le clic-clac avec une manette de ma vieille gamecube à la main. 

– Prend l’autre manette 2ème mission, me vaincre et gagner.

– Tu vas en avoir beaucoup des missions? 

– Je sais pas, je suis plutôt joueur.

– Ouais mais bon, si je gagne, tu me donnes un truc ? 

– On verra… quoique non, tu devras en gagner 3. 

L’idée ne me déplaît pas du tout je décide de pimenter. 

– Attends c’est pas équitable. Tu te fous aussi à poil le gagnant des 3 manches gagne le droit de dormir comme il souhaite l’autre sera obligé d’être nu.  

– Pari tenu.

A ce moment-là, il se met alors à poil aussi et je remarque que sa queue est un peu plus grande que tout à l’heure. Mais je ne dis rien. Les circuits de karting du plombier moustachu s’enchaînent et il gagne, à mon plus grand regret … ou pas.

– 1 – 0 pour moi. 

– Ouais ouais, c’est bon on en refait une ?

– Après.

– Pour l’instant, j’ai soif, tu veux bien aller chercher un truc ?

– Alcool ou soft ?

– Alcool.

– Sans soucis, y a des bières, j’arrive.

Je descends alors les escaliers rapidement, prends quelques bières et je trouve une bouteille de vodka et je remonte.

– tiens, la bière de monsieur est arrivée.

– Merci beaucoup. Mais t’a aussi pris autre chose à ce que je vois.

– Ouais à moins que tu n’en veuilles pas.

– Ha si si !

– J’ai pas de verre par contre.

– T’inquiète, on fera à la bouteille. 

– Bon on se refait une revanche ? 

– Ouai vas-y, je vais te plumer. 

Les parties s’enchaînent, l’alcool aussi. On se retrouve alors un peu dans un état second, mais sans être non plus trop alcoolisé. 

A la dernière course Gabin lance :

– allez bam j’ai gagné 3-1 t’es vraiment nul !

– Vas-y arrête aussi, bon t’a gagné t’es content. Ouais et plutôt 2 fois qu’une tu vas dormir nu.

– T’es vraiment chiant mais bon tant pis j’ai perdu.

On déplie alors le clic-clac et tous les deux toujours nu.

– bah alors t’a gagné tu t’habilles pas ?

– Non pour l’instant je suis bien comme ça.

– Comme tu veux. Je vais chercher des draps et une couverture.

On fait alors le lit. Et il s’amuse à me donner des petites tapes au cul. 

– Une super servante avec un beau petit cul. 

– Haha merci. Mais fais gaffe, je vais penser que t’a envie d’un cul.

– Bah Ouais on dirait celui d’une meuf, t’es imberbe. 

– Oui je rase aussi de ce côté, j’aime pas les poils.

– Ouais, moi non plus comme tu peux voir.

Il se met alors à m’exposer sa bite juste sous mon nez.

– MDR c’est que tu louches dessus, bave pas non plus.

– Ha ha très très drôle.

On s’allonge alors, il prend une gorgée de vodka et il me demande :

– J’ai une question… t’as déjà fait un truc avec un gars.

– Non non pas du tout.

J’ose pas lui parler de mon fantasme, je lui demande à mon tour :

– Et toi ?

– En vrai, je sais pas si on peut considérer ça comme quelqu’une chose, mais une fois avec des potes de la boxe, on s’est branlé dans la même pièce.

– Ha ouais !?, non ça c’est rien.

– Bah ouais, mais vu qu’on voulait se branler, tu sais moi ça me dérange pas en fait parce que, en vrai j’ai grave envie et faut que je vide mes couilles. 

L’idée m’excite d’un coup mais heureusement je suis sous la couette. Il ne voit pas mon excitation.

– bah écoute ouais pourquoi pas, on met un porno?

– Ouais attend je prends mon tel.

Il se lève alors et je vois qu’il a aussi une érection. Une belle queue, bien épaisse et légèrement courbée vers le haut. 

– Ha ouais t’es déjà ultra excité, t’as vraiment envie toi.

– Euh ouai quand même. Et toi ?

Et là, il tire la couette et laisse voir mon érection du tonnerre.

– Ha bah ouais je suis pas le seul au final. Bon je mets quoi comme porno t’aimes quoi ?

– Vas-y je m’en fous !

– Un plan à 3 ?

– Vas-y !

Il va alors sur un site et tombe sur un 2 mec et 1 meuf. Je commence déjà à me toucher en regardant en coin sa queue.

– celui-là ?

– Ouais vas-y !

Il lance alors le porno mais j’étais plus intéressé par sa queue et je vois que de temps à autre il zieute aussi la mienne.

Alors que je ne suis subjugué que par sa queue, le porno défile mais je n’en ai rien à faire, il pose son téléphone sur le côté et me tend la bouteille de vodka.

– ça a pas l’air de t’intéresser le porno.

– Si si mais tu me perturbes.

– Tu veux toucher ?

Je m’attendais pas à ça du tout.

– allez si tu veux, vas-y j’ai bien touché la tienne tout à l’heure.

– Ok.

J’approche alors ma main de sa queue et je commence à le toucher, elle est plus épaisse que la mienne, mais niveau taille, elle est pareille, je dirais un bon 17/18 cm. Bien veineuse. 

J’approche ma main vers sa queue et je la saisis. Je commence alors à le branler.

– putain ça fais du bien. Continue.

Je le vois fermer ses yeux, le son du porno tourne en fond sonore. Il saisit la mienne en me regardant dans les yeux.

– Je peux aussi ?

– Bas Ouais vas-y.

On se retrouve alors l’un contre l’autre à se branler l’un l’autre. Ça sent l’alcool et la testostérone.

– On a un peu la même je trouve. Me dit-il.

– Ouais je trouve aussi mais t’es plus large toi. 

– Hé ouais, je savais que là-dessus aussi je te battrais. Je suis le meilleur.

– Bon bah si t’es meilleur en tout j’arrête.

– Non non continue, pour ça, tu te débrouilles trop bien. D’ailleurs ça te dis pas de tester un peu plus ?

– C’est-à -dire ?

– Bah… tu ne vois pas que de la branlette, tu me suces et je te suce aussi. Si t’aime pas ou si j’aime pas on arrête.

Alors là, même dans mes rêves, je pensais pas qu’il me le propose. Je tente un truc.

– ouais mais tu commences.

– Ok vas-y, mais si je fais mal ou t’aime pas tu me dis. Et si j’aime pas j’arrête.

– Ouais ouais pas de soucis.

Je sens alors sa main se crisper un peu autour de ma queue. Il se redresse et se penche lentement vers mon bassin. Je commence à ressentir son souffle sur moi. Il gobe doucement mon gland, un peu timidement, et commence à sucer lentement. Cette sensation est folle, je me crispe directement. Il ressent et s’arrête :

– je t’ai fait mal ?

– Ha non non du tout c’est génial !

– Ok nickel alors. 

Il reprend alors ma queue en bouche et se met à me sucer plus énergiquement. Il alterne entre la vitesse et ce qu’il peut prendre en bouche. J’ose poser ma main sur sa tête pour lui commander un peu le mouvement.

– vas-y, pompe.

Il me regarde alors tout en gobant ma queue entièrement. Je pousse un râle de plaisir. 

– stop stop arrête.

– Ça va pas ?

– Si si mais c’est trop bon, je vais venir. Tu veux que je te suce moi.

– Bah ouais comment refuser ?!

Contrairement à moi, lui ne reste pas allongé. Il décide de se mettre à genoux dans le lit.

– vas-y !

– Euh … dans cette position?

– Ouais met-toi à quatre pattes.

Je m’exécute, je m’approche doucement de mon graal tant convoité. Je salive comme jamais.

Je commence alors à passer ma langue doucement sur sa queue, puis je décide de la glisser entre son gland et son prépuce. Je le vois avoir des petits spasmes et à des râles, je comprends que je lui fais du bien.

Je continue sur ma lancée en prenant en bouche et commence mes vas et viens.

– putain je sais pas si c’est depuis le temps ou si c’est toi mais c’est 100 fois mieux qu’avec une meuf. 

Je m’arrête.

– Donc je continue ? 

– Bah ouais grave, sauf si t’aime pas.

– Bah si j’adore !

– Et bah vas-y suce-moi !

Et il m’attrape alors ma tête et me fout sa queue en bouche.

– Ouais vas-y suce, montre moi que t’aime ma queue.

Je m’applique alors à le sucer comme jamais. Sa queue est super bonne. Il me retire sa queue et me tapote le visage avec.

– t’aime ça pas vrai ?

– Ouais !

– T’es une petite chienne en vrai !?

– Ouais !

– Alors vas-y suce bien !

Il se remet assis sur le matelas, le dos contre le mur, et je continue mon travail. En étant à quatre pattes, je le sens se redresser et sa main parcourir ma tête et descendre le long de mon dos jusque mes reins. Sa main arrive sur mes fesses et il s’amuse à mes les caresser. Cela m’excite au plus haut point. Je me branle tout en le suçant. Je remonte la tête pour reprendre mon souffle, il me regarde dans les yeux et sa main descend doucement entre mes fesses. Je sens son doigt alors titiller ma rosette.

– Tu mouilles en plus !?

Je ne répond qu’en esquissant un petit sourire.

– je ne te force pas, mais ça te dirai de tester un peu plus !? Si t’a envie !?

– Toi t’as envie ? 

– Bah ouais mais je sais pas si on peut en fait. 

– Ha Ouais, je vois, bah vas-y on continue alors !

L’envie de me faire prendre était bien présente, j’avais aussi envie de tester, donc je continue de me cambrer et il me titille du bout du doigt. Je me retire alors et lui propose :

– On n’est pas obligé de tester la pénétration mais j’ai une idée. Mets-toi à quatre pattes.

– Je sais pas trop… 

– Si tu veux, je teste un truc, si t’aime pas j’arrête et tu pourras me faire pareil.

– Ouais, vas-y !

Je le fais alors se mettre à quatre pattes, son cul en l’air bien cambré. Il avait un cul magnifique, bien rebondi, avec une légère toison, mais pas trop non plus.

Je commence alors à embrasser ses fesses délicatement tout en le branlant. J’arrive à son petit trou et je m’amuse à le titiller du bout du doigt, je décide de le mouiller un peu et je vois que son anus répond à mon approche. Je commence alors à délicatement entrer doucement. 

– Ça va ?

– Ouais ça fais bizarre !

– Je continue ?

– Ouais vas-y !

Je continue alors doucement mon jeu et cherche sa prostate. Bingo, je m’amuse à titiller et là, je l’entend prendre du plaisir, des petits cris…

– ouais continue !

J’enlève mon doigt et dans une envie, je décide de glisser ma langue. Au début, il se crispe, je continue alors doucement et je sens qu’il se décontracte et il me laisse alors faire. Je passe ma langue, je lui titille, j’alterne de temps en temps avec un doigt ou 2.

– tu veux me le faire ? 

– Ouais mets-toi comme moi ! 

Mais avant, il me plaque alors contre le lit, se retrouve au-dessus de moi. 

– Tu vas me sucer.

 Je m’exécute alors. Il est là, à genoux, au- dessus de mon torse et je le pompe. Je sens sa main me branler en même temps, puis il s’arrête et glisse dans ma raie. Il me regarde droit dans les yeux.

– À mon tour de m’amuser !

Il se déplace, me relève les cuisses et me glisse mon premier doigt au cul. WOUAH !! La sensation est nouvelle, j’avais déjà moi-même fait essayé, mais là, avec quelqu’un d’autre c’est vraiment autre chose. Il commence alors des petits mouvements. 

– t’aime ça hein ? Ça se voit, ça rentre tout seul !

– Ouais vas-y !

Il décide de me mettre 2 puis 3 doigts, l’excitation faisant, je me dilate comme un rien. 

– Je peux essayer de te prendre ? 

– Non vraiment… je pense pas qu’on puisse. 

– Ok mais ton cul est vraiment bon.

Son regard changea. Il me mit alors une fessée et j’ai lâché un cri de plaisir. 

Il me retourne alors à quatre pattes et me met de la salive sur mon trou. Il se met à genoux et tapote avec sa queue. Il me glisse quelques doigts de temps à autre. Se branle comme un fou. Et d’un coup, je sens l’excitation monter.

– Attends stop s’il te plaît !

– Ça va pas ?

– Si si, je vais venir !

Il me saisit la queue et me branle tout en me titillant la prostate. Plusieurs jets viennent m’asperger le torse. Il rigole et me dit :

– ha ouais ! t’étais vraiment plein. 

– Ouais mais en même temps tu sais où appuyer !

Il se décale sur le côté, le temps que j’attrape un t-shirt et m’essuie.

–  Non mais attends, tu vas pas être bredouille.

Je me remets au dessus de lui, et entreprend de le sucer comme jamais. J’alterne entre sa queue et ses couilles, je gobe tout, il attrape alors ma tête et me défonce littéralement la gorge.

On ralentit la cadence et alors que je reprends mon souffle et le branle il me dit :

– Je vais venir si tu continue !

Je décide alors de reprendre mon jeu de bouche tout en le branlant. Je le sens se raidir, et d’un coup :

– attend, attend …

Je continue de plus belle, plusieurs jets au fond de ma gorge, il appuie alors sur ma tête. 

– Dernier défi, avale ! 

Je me recule alors, le regarde droit dans les yeux, avale tout ce qu’il m’avait donné et lui tire la langue. Il m’attrape alors la nuque et me roule une pelle comme un dieu.

– Franchement c’était trop bon !

– Ouai de fou ! 

– Je vais vite fait me passer un coup.

– Vas-y j’arrive.

– Bah viens en même temps.

Je décide alors de le suivre, on s’amuse à se taquiner et prenons notre douche à deux. Des petites caresses et frottements se font sous l’eau chaude. 

Nous entendons d’un coup la porte d’entrée s’ouvrir. On sort alors rapidement avec nos serviettes et courront à l’étage. On se glisse sous les draps en rigolant, tous les deux entièrement nus et nous nous endormons l’un contre l’autre. 

Le lendemain matin de nouvelles choses se sont passées, mais ça, c’est une autre histoire.

Suite de l’histoire. 

Le lendemain matin au réveil, j’ouvre les yeux, je sens un bras au-dessus de moi. Je décide alors de ne pas bouger et de profiter de ce moment de tendresse, peut être involontaire, mais bien réel.

Je récupère mon téléphone, il était presque 12h. J’avais déjà des messages.

« On est retourné à la salle, tu sais où sont les choses à toute à l’heure ».

Génial on avait encore la maison pour nous seul. 

Je sens alors qu’il commence à bouger et son bras se serre contre moi et il me tire tout contre lui. Je me sens gêné et d’un coup un « salut » vient briser le silence de la pièce.

– hey bien dormi ?

– De fou et toi.

– Ouais.

Il enlève son bras, s’étend et dit en remontant la couette :

– Ha oui on est nu c’est vrai. (De manière un peu gêné mais avec un petit sourire en coin.)

– Haha ouais c’est vrai.

Un petit silence s’installe, mais rien que le fait de me rappeler le pourquoi nous sommes nu et cette soirée extra, mon érection matinale reprend de plus belle. Il vient alors casser le silence.

– Tu veux qu’on reparle de ce qui s’est passé ?

– Bah… je sais pas trop, à toi de voir !

– Je pense qu’on devrait quand même savoir ce qu’il en est de part et d’autre. 

– Ouais t’as sûrement raison mais je veux pas qu’on soit en froid ou que ça crée des soucis.

– Bien sûr, c’est justement pour ça qu’on doit en parler.

Sur ce, il se redresse et se met en tailleur, avec juste la couette sur le bas de son ventre qui laisse deviner tout de même que lui aussi a un érection vu la bosse que dessine la couette. Il commence alors :

– Bon du coup ça t’a plu ?

– Bah oui bien sûr … et toi ?

– Oui oui de fou j’avais jamais fait avec un mec.

Ouf je suis déjà soulagé et voilà un bon point.

– oui moi non plus… mais j’avais vraiment envie depuis longtemps de tester.

– Moi ça m’avait traversé l’esprit. Mais vraiment je ne regrette rien.

Un nouveau silence s’installe… on se regarde, on regarde la pièce… bref on sait pas trop quoi dire, ni faire. Je décide de tenter un truc. 

– Bon… on va aller déjeuner quand même ? Et on a la maison pour nous seul au fait.

– Ha bon !? Trop cool d’être seul encore une fois. Et je ne déjeune pas trop mais bon j’ai bien envie de déjeuner un autre truc.

Il attrape alors la couette et tire de son côté. Laissant alors mon corps nu à sa merci avec une érection bien présente.

– j’en étais sûr. Tu bandes comme un âne.  

J’attrape alors la couette et je mets tout par terre. Il se retrouve alors aussi nu et une gaule monumentale. Et je pouvais enfin admirer plus précisément cette bite à la lumière claire du jour. Légèrement courbé vers la gauche, recouvert de son prépuce laissant entrevoir le gland rose gorgé de sang. Des veines parcouraient toute la longueur de ce monstre. Ma contemplation fut interrompue car il se leva.

– Bah alors tu louche dessus, tu la veux hein ?

– Ha ça oui que je la veux !

– On va alors s’amuser ?

– Ho non, tu fais chier avec tes jeux !

– Ouais mais moi j’aime bien et puis t’as envie, j’ai envie, on va pas se prendre la tête, on s’amuse juste. Non ?

– Ok mais alors moi aussi je joue. 

– Ha monsieur prend des initiatives, j’aime bien. Du coup, vas-y !

Bon j’étais pris un peu au dépourvu. Mais j’ai vite trouvé une idée.

– Cette fois, le gagnant remporte le cul de l’autre.

– Très bien, marché conclus. De toute façon, je vais gagner. 

– On verra bien. 

– C’est tout vu !

Il se lança sur moi, me bloqua les épaules. Une tension électrique et emplie de testostérone se faisait sentir. Sa queue touchait la mienne, des petits spasmes les faisaient s’effleurer. Il relâcha son emprise.

– Bon on en a tous les deux envie, pourquoi se priver ? 

– Tout à fait, mais avant on doit regarder sur internet 2/3 trucs.

– Ha bah oui !

Du coup, je chope mon téléphone et lui descend au WC. Je regarde deux/trois conseils pour la sodomie, j’en apprends pas mal. Et je le revois revenir avec de la nourriture. 

– Tu fais quoi avec ça ? 

– Bah j’ai été chercher de quoi s’amuser. T’as trouvé des trucs?

– Ouais viens je te montre.

Je lui montre quelques trucs que j’ai trouvé, qui parle de préparation, lubrifiant. On se dit que peut-être il est préférable de suivre les recommandations. 

Alors on décide chacun notre tour de se préparer et en même temps, on prévient la famille qu’on décide de rester ici car nous sommes « fatigués ».

Une fois fait, nous nous étions quand même habillés, il m’avait prêté un boxer de rechange de sa valise et lui portait un simple jogging.

On a parlé ensemble pendant la fin de matinée jusqu’en début d’après-midi. On a ressorti des vieux jeux, on a geeké un peu. 

Puis le moment arrive où je repensais à notre matinée, mon excitation était palpable.

– J’ai un défi pour toi. 

– Ha enfin je me demandais quand t’aller te réveiller.

– Ha ha ha très drôle, après si tu veux pas. 

– Mais si allez on la rejoue comme hier ? 

– En 3 points !

– Ok en 3 points !

– Bon je vais monter, je vais me planquer dans la chambre entièrement dans le noir, y’a interdiction à la lumière. En 10 minutes, tu dois me retrouver.

– Trop facile. 

– Ok si tu le dis.

Je cours donc à l’étage, fermé tous les stores et il me laisse 3 minutes pour me planquer. Connaissant bien les lieux, je connais une petite planque dans un recoin de la chambre derrière une vieille armoire avec un renfoncement dans le mur. Je me fous à poil pour pimenter les choses et je m’y glisse.

Il arrive de derrière la porte :  

– Alors t’es planqué ? 

– Ouais mais pas de lumière et fous-toi à poil !

– Ha ok ! Oui t’inquiète je lance le chrono 

Je l’entend enlever son jogging, l’excitation me fait bander direct.

Je l’entend chercher, se cogner, et même trébucher à un moment. Je lâche un petit rire.

– Ha t’es par là !

Merde je suis con. Je l’entends se rapprocher, le stress monte, il ouvre l’armoire, je suis juste derrière impossible qu’il pense à la déplacer. Je l’entends fouiller puis changer de cible. Ouf … le temps passe et BIP BIP BIP. 

– T’A PERDU 1-0 !

Il allume la lumière 

– Ouais mais tu connais mieux aussi.

– Bah c’est le but justement !

Je sors de derrière et je vois qu’il bande aussi. 

– On est vraiment affamé.

– Oui mais justement on fait monter l’envie, je trouve.

– De fou ! Allez on fait un quizz ?

– Vas-y !

On lance alors une application de quizz sur le cinéma et d’autres en tout genre. On arrive au final à 2-2. Je lui dis : 

– Merde ! tu m’a rattrapé !

– Bah ouais que veux-tu ? Tu n’auras pas mon cul comme ça !

On s’allonge alors tous les deux sur le clic-clac et on admire les étoiles phosphorescentes et les écritures faites par les petits enfants au plafond et sur les poutres de la toiture. 

– Ca me rappelle plein de souvenirs

– J’ai pas connu moi.

– Ouais trop dommage ça aurait été cool !

– Bah de fou, t’as écris toi ?

– Bah oui et les étoiles c’est moi aussi !

– J’en étais sûr, t’a écrit où ?

Et là une étincelle surgit dans ma tête.

– Vas-y tu dois deviner, en plus c’est simple il y en a beaucoup de moi. Si tu devines, tu gagnes si je devine, je gagne.

– Vas-y !

Il se met debout sur le lit, et contemple les écritures et différents mots sur la mansarde. 

J’ai sa bite à 10 cm de mon visage étant toujours sur le lit mais assis. 

Je m’amuse alors à attraper son manche et il se met à bander.

– Bah tu fais quoi ?

– Bah quoi que ça soit toi ou moi qui se fait prendre, rien n’empêche de se sucer avant.

– Ha ça oui !

– Tu trouves sinon ?

– Ben j’hésite entre lui et lui.

Il me pointa un petit dessin d’ours fait bien évidemment par moi, et un mot « ici est passé le boss » qui me faisait rire mais n’était pas de moi. 

– Y’a une chance sur 2 !

– Bon aller celui-là, ça te ressemble ! Dit-il avec un grand sourire.

Il pointa la phrase.

– ET…. NON. C’était l’autre !

– Oh non fait chier !

– Bah ouais t’as perdu !

– Bon j’avais quand même trouvé 1 

– Ouais ouais… t’auras peut-être droit à un lot de consolation.

L’idée de me faire prendre me faisait vraiment envie surtout par cette sublime queue de fou.

– Ah oui quel genre de consolation ?

– Ben t’auras peut-être droit aussi de me prendre mais après moi.

– Ok on fait ça !

Il me sauta à nouveau dessus et me rebloqua comme dans la matinée. Sauf que là un regard nouveau et dominateur était grave dans son regard.

– Mais en attendant je commande.

– Oui d’accord.

– Tu vas commencer par m’embrasser et me lécher où je te dis et tu dis « oui monsieur »

– Oui monsieur. 

Il s’allongea alors et me pointa son cou. J’accourus déposer un baiser, puis son oreille, je pris alors son lobe et le lécha, il passa son doigt sur son torse, je suivis tout le tracé jusqu’au téton dont je me suis occupé pendant un petit temps. 

Il me fit descendre alors ma tête en appuyant dessus pour me conduire à sa bite.

– embrasse-la !

Je commence alors par la hampe et je remonte sur toute la longueur. Je commence à la prendre en bouche et me mit une claque. Ça m’a perturbé sur le coup mais j’ai aimé.

– Je t’ai pas dit de sucer encore.

– Oui monsieur.

Ce petit jeu de domination me plaisait vraiment.

– Occupe-toi de mes couilles !

– Oui monsieur.

Je descends alors vers ses deux couilles, elles sont entièrement lisses, une légère odeur de mâle s’en dégage, cela en plus m’excite de plus belle. J’embrasse, je lèche, je gobe, je suce,… je fais tout ce qui me passe par la tête et au vue de ses râles il kiffe réellement.

Je prends donc l’initiative de le sucer. Et là, il me laisse, je le suce comme jamais. 

– Oh ouais c’est trop bon !! Continue !!

J’augmente la cadence et je décide de glisser un petit doigt sur sa rosette. Je le sens alors se crisper mais il me laisse le titiller. Des petits couinements se font entendre.

J’arrête donc de le sucer, je me redresse et il se jette à quatre pattes sur ma queue.

Les rôles s’inversent, je décide de mener la cadence, je maintiens alors sa tête et lui baise la bouche. 

Il bave et me suce comme une chienne. 

Je passe mon doigt dans ma bouche et lui glisse dans son petit cul. 

– Attends, attends. Me lança-t-il !

Il se lève, je pensais avoir fait un truc de mal et là, il va à sa valise et sort du lubrifiant.

– Regarde j’ai ça, et des capotes aussi !

– C’est que t’en cache des choses dit-moi. Allez viens ici !

Je m’assois sur le bord du clic-clac tout en me branlant. Il pose les différents trucs sur le son et me suce en étant par terre. Au bout de quelques minutes, je le relève et le fais mettre à 4 pattes sur le lit. Je lui bouffe son petit trou. J’oscille entre coups de langue et quelques doigts. Je vois au fur et à mesure que son corps s’habitue et il prend un réel plaisir.

– Vas-y essaye pour voir.

– T’es sûr ? 

– Oui vas-y !

Je mets alors une capote et du lubrifiant.

Je pousse légèrement son entrée et d’un coup mon gland passe. 

Il a un mouvement de recul.

– ca va ?

– Oui, oui, juste attends un peu.

J’attends donc doucement que son cul s’habitue, je le branle en même temps.

– On peut changer de positions ?

– Ben oui si tu veux. 

– Je vais me mettre sur le dos, tu relèves mes jambes ok!?

Je vois donc son visage, je remets un peu de lube, et me présente à son anus. J’entre alors mon gland facilement et j’arrive à la moitié. Je le vois crisper son visage et retenir mon corps avec sa main, je décide de m’arrêter et de me retirer en faisant des petits mouvements lents. Je vois alors son visage se décrisper, je sens l’étreinte autour de ma queue se desserrer aussi. 

– C’est bon !?

– Ha ouais ?

– Ouais de fou !

– Je peux aller plus ?

– Vas-y !

Fallait pas me le dire 2 fois, j’entre alors la totalité de mon manche et je le vois ouvrir des grands yeux.

– WOUAHHH !! Je m’attendais pas à ça !!

– Eh ben t’es pas prêt !!

Je décide alors d’amplifier mes coups de reins, il couine de plus en plus, il s’accroche aux draps et me hurle de continuer.

Au bout d’un petit moment, je commence à fatiguer, je me retire et je lui propose : 

– Tu veux essayer ?

– Moi te prendre ?

– Bah ouais t’as l’air d’avoir kiffé, je veux voir ce que ça fait.

– Mais de fou c’est vraiment une sensation incroyable vas-y à quatre pattes !

Je m’exécute, je me retrouve le cul en l’air à sa merci. Et d’un coup BOUM, une claque sur ma fesse. WOUAHHH ça m’a surpris mais pas du tout déplu. Je le regarde alors plus chienne que jamais.

– T’en veux une autre ?

– Oui monsieur.

Et BAM une nouvelle, je gémis de plaisir. Il me met quelques doigts avant d’entamer avec la langue.

– Vas-y fonce, j’ai trop envie ! 

– Comme tu veux et t’es vachement ouvert.

Il tapota mon trou avec son sexe, je me mis alors encore plus à cambrer. Il posa sa main sur ma fesse, malaxa et en même temps, il s’introduit en moi. Je sens chaque centimètre de sa teub, une vive douleur m’envahît. Je lui dis d’aller doucement, ce qu’il fait mais continua quand même son intrusion. Je sentis que tout était entré quand son torse vient se poser sur mon dos, il déposa quelques baisers sur ma colonne puis se redressa.

– Je vais doucement t’inquiète !

Effectivement, il fût d’une tendresse incroyable. Vraiment délicat, un plaisir m’envahît, j’étais comme sur un nuage. Je poussais des petits gémissements à chaque vas et viens. Puis il accéléra petit à petit, la tension était intense.

– vas-y baise-moi !

– Tu l’auras voulu !

Et là, il me planta son sexe au fond de moi et entama de me limer. Il m’attrapa la tête en me tirant les cheveux et quelques claques passèrent aussi. C’était vraiment phénoménal.

Au bout d’un petit temps, il se retira, me retourna sur le dos. Et m’embrassa comme un fou. Je lui rendis son baiser, on s’enlaça et dans notre baiser, il se redressa et me tint par les cuisses. Il me regarda droit dans les yeux.

– On continue ? 

– Bah à moins que tu sois fatigué mais vas-y moi on peut continuer autant que tu veux.

– Let’s go !

Il me pénétra à nouveau mais cette fois, je pouvais à la fois le sentir en moi et l’admirer. Son corps, son torse, le voir avec ce regard de bête, son souffle haletant tout était génial et cette sensation nouvelle à l’intérieur de moi m’irradiait. Je sentis alors que sans me toucher, j’allais venir.

– Je vais gicler.

– Ouais moi aussi !

– Vas-y lache tout !

Dans un râle commun, j’ai lâché plusieurs jets jusqu’à m’en faire certain en faciale, quant à lui, je sentis au moins 4/5 jets chauds en moi.

Il s’allongea, souffla, exténué. 

– putain c’était super bien. Vraiment la meilleure baise de ma vie !

– Ouais de fou, pareil pour moi. 

On décide alors d’aller à la douche ensemble, on parle de tout ce qui s’est passé. Il décida alors d’allonger son passage dans la région pour qu’on puisse continuer à se voir. On s’amusa de nouveau à quelques reprises pendant ce laps de temps.

Maintenant quelques années ont passé, on se recroise de temps à autre. Il a eu des copines, moi aussi mais des aventures plus variées. De temps en temps, d’une envie soudaine, il m’envoie un nude, du coup je lui répond mais on a jamais eu l’occasion de franchir le cap à nouveau. Mais au vue de son dernier message « je repense encore à ce qui s’est passé dans le grenier… faudrait qu’on se revoit ». Je pense qu’on va retenter l’expérience.

Ne manque pas
une occasion !

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