Alors voilà, ça concerne un fetish que j’ai depuis plusieurs années: les boxers des hommes gays (ou pas d’ailleurs…). Ça a pris une tournure que je ne contrôle plus depuis quelques mois maintenant. Laissez-moi vous parler de mon obsession pour les sous-vêtements. J’ai toujours su que j’aimais les hommes et les femmes, mais surtout leurs sous-vêtements. D’ailleurs d’aussi loin que je m’en souvienne, ça a débuté quand j’avais 13 ou 14 ans, fin de collège, début lycée quand je m’astiquais tous les jours. Je crois que ça a commencé par un reniflement curieux sur le boxer d’un beau mec de ma classe, Jean, il avait un super beau cul, bien bombé, bien charnu. L’appréhension d’être surpris, la tension, ça m’avait filé une trique d’enfer et j’avais sans doute dû ronger mon frein jusqu’à ce que je rentre chez moi. Je me souviens juste avoir recommencé de nombreuses fois, allant même jusqu’à lui piquer un boxer et des chaussettes «sales» pour me branler avec chez moi…
Sans y penser, j’ai «perdu» cette envie de profiter des odeurs des uns et des autres. Mais depuis quelques mois, cette envie a été ravivée. Pour le contexte, j’ai 27 ans, lendemain de soirée entre potes. Un ami s’est trouvé une nouvelle copine, honnêtement hyper bonne et ils n’arrêtent pas de baiser. Le lendemain, passé en dernier à la salle de bain chez mon pote et j’ai remarqué son caleçon sur une pile de vêtements sales. J’ai touché par curiosité et je l’ai senti humide, ça a suffit pour me filer une demi-molle. Je l’ai inspecté plus en détail, il s’agissait bien d’une super belle giclée, presque chaude, donc récente. La pression ne cessait de monter alors j’ai déballé mon attirail et je me suis lentement mis à me branler. J’adore baiser, mais rien ne peut remplacer une splendide branlette et me toucher avec le freegun de mon pote était merveilleux. Sentir sa semence chaude sur mon gland et m’en servir de lubrifiant était indescriptible. J’avais déjà vu mes potes à poil parce qu’un peu exhib même si hétéros… rien de comparable avec ce que je faisais là.
Les frottements du lycra, le liquide tiède, l’odeur de mâle, quelques minutes auront suffit pour me faire jouir comme jamais. En me courbant d’extase, j’ai explosé en plusieurs jets, ajoutant mon sperme au sien. Je ne pouvais décemment pas laisser tout ça comme ça, alors même après l’orgasme, je me suis résigné à lécher le lycra du boxer pour en enlever mon nectar, ce que je déteste faire. Le goût n’était pas le même qu’habituellement je suppose donc que j’ai dû aussi nettoyer le sirop de mon pote, qui a ma grande surprise était plutôt agréable en bouche. J’ai fini par remettre le boxer à sa place avant de passer sous la douche. C’est arrivé d’autres fois et ça a été le début d’une spirale sans fin dans laquelle je suis un peu bloqué aujourd’hui.
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