Il m’est arrivé un truc de ouf hier soir ! Comme souvent, on passe la soirée chez un couple d’amis avec notre bande de potes. On mange bien, on boit bien aussi… Bière, vin, champagne, tout y passe.
Les heures passent, les enfants vont se coucher, les amis repartent un par un. Vers deux heures du matin, il ne reste plus que mon mec, son meilleur pote et moi sur le grand canapé. Je suis fatigué et légèrement pompette alors je suis à moitié allongé, les yeux fermés. Je ne participe pas vraiment à la conversation mais j’essaye un peu de suivre en luttant contre le sommeil.
En gros, le meilleur pote de mon mec n’a quasiment plus de relations sexuelles avec sa femme. Ça fait au moins 6 mois qu’ils n’ont plus baisé et qu’il n’en peut plus, le porno et sa main droite ne lui suffisent plus. Il dit que mon mec a de la chance, parce que nous on baise souvent, ce que mon mec confirme en lui disant que pour lui, c’est quand il veut, où il veut, que je suis sa salope, pratiquement son objet sexuel.
Ça ne me dérange pas qu’il dise ça parce que c’est vrai, et qu’on ne s’en cache pas vraiment. A vrai dire, ça m’excite même qu’il parle de moi comme ça à son pote quand il pense que je suis endormi.
D’ailleurs, j’ai l’impression que je suis pas le seul à être excité. Pendant que je somnolais, ils m’ont couvert avec un plaid et il se trouve que mon pied touche la queue bien dure de mon mec, que je commence à caresser avec mon pied. Je devrais pas faire ça chez son pote alors qu’il est juste à côté mais bon, la fatigue et l’alcool n’aident pas à prendre des décisions censées.
Je continue quelques instants avant de changer légèrement de position dans mon faux sommeil pour pouvoir passer ma main sur la belle bosse dans le pantalon de mon homme qui se raidit d’un coup mais ne dit rien, continuant la conversation que je n’écoute même plus. J’arrive à défaire le bouton et à glisser ma main à l’intérieur pour attraper la bite très dure et légèrement humide et commence à la branler doucement.
Je mets un petit moment à réaliser l’étrangeté de la situation, parce que la bite me semble différente. Plus petite, plus fine aussi. Je comprends alors que ça fait deux-trois minutes que je suis en train de branler la bite du meilleur pote de mon mec. Et le pire dans tout ça, c’est que ça m’excite encore plus et lui ne m’arrête pas non plus. Il est pourtant pas mon style physiquement et sa bite pas aussi grosse que celle de mon mec, mais l’idée de donner du plaisir à un mec hétéro qui n’a pas été touché depuis des mois me fait mouiller comme jamais.
Je continue de le branler doucement pour pas qu’on se fasse surprendre jusqu’à ce qu’il se penche pour murmurer à mon oreille quelques instants plus tard : « Il s’est endormi… Tu veux aller dans la salle de bain? »
Je ne réfléchis même pas, j’en suis incapable. Avec la fatigue et l’alcool, ce n’était plus moi qui était aux commandes mais mon corps et ses instincts qui prenaient le dessus. Je me lève doucement pour ne pas faire de bruit et ne pas réveiller mon mec qui s’est en effet endormi.
Je suis son pote jusqu’à la salle de bain à l’étage et il ferme la porte à clé derrière nous. Je le vois sur son visage, les quelques secondes qu’il nous a fallu pour faire le chemin lui auront suffit pour reconsidérer la chose. Il a l’air un peu paniqué, se demande s’il n’est pas en train de faire une connerie et je le vois qui essaye de faire machine arrière. Mais je vois aussi sa queue qui fait une belle bosse qui dépasse de son jean entrouvert alors avant qu’il ne puisse dire quoi que ce soit, je la prends en main et le branle à travers le tissu, ce qui lui arrache un râle de plaisir.
« Je vais te faire la pipe de ta vie, » je lui annonce en me mettant à genoux et en déballant le matériel. Je prends le temps d’observer, une queue d’une bonne quinzaine de centimètres et d’une épaisseur plus que raisonnable. De quoi bien s’amuser et je me surprends à penser que sa légère courbure doit être agréable à sentir s’il venait à m’enculer.
Mais on en est pas là alors j’ouvre la bouche et je m’exécute. Je lui ai fait une promesse et je compte bien la tenir. Je prends mon temps parce que je le sens au bort du précipice mais j’y mets toute ma passion, tout mon talent avec ma langue pour le prendre en fond de gorge et bien avaler sa queue d’hétéro marié qui n’a pas senti une bouche sur elle depuis des mois voire des années.
Je sens ses mains sur ma tête, dans mes cheveux, j’entends sa respiration saccadée et ses muscles qui se raidissent. Au bout de quelques minutes, il me prévient qu’il va venir et s’enfonce dans ma gorge qui n’attend que ça, récupérer son nectar. Il jouit longuement et beaucoup, et son sperme épais et chaud a bon goût, je n’en perds pas une goutte. J’attends qu’il débande en le nettoyant avec ma langue avant de me relever et remballer sa queue dans son boxer.
Il a un air émerveillé sur le visage et le sourire gigantesque du mec qui vient juste de se vider les couilles. « Putain il mentait pas quand il disait que t’as une bouche magique! »
« Et t’as encore rien vu, » je lui réponds en rigolant.
C’était donc cette nuit, et aujourd’hui, il m’envoie un message en me disant qu’il est marié, qu’il a des enfants, il faut rien dire à personne, bla bla bla…
Je lui ai répondu que tant que lui dirait rien à mon mec, je dirais rien non plus et que s’il avait besoin de se vider, il savait où me trouver, que j’avais kiffé pomper sa grosse queue (ils aiment toujours les compliments!) et que j’avais hâte de la sentir dans ma chatte de mec, qu’il pouvait me démonter aussi fort qu’il le voulait.
Son dernier texto? « Je suis seul à la maison mercredi après-midi, ma femme amène les gosses chez ses parents. »
Je sens que mercredi je serai en maladie…
Suite
Début décembre, j’avais écrit une confession dans laquelle je racontais comment j’avais sucé le meilleur pote hétéro marié de mon mec en toute discrétion. Il était prévu que je retourne le voir la semaine d’après pendant que sa femme et ses gosses étaient absents mais pour diverses raisons (principalement la panique, je pense) ça ne s’est pas fait et je n’ai pas insisté outre mesure.
Sauf que voilà, même s’il voulait m’éviter, impossible de se cacher éternellement puisqu’il était prévu de longue date qu’on passe le réveillon ensemble. Encore une fois, chez eux, avec la troupe habituelle d’amis.
Comme d’habitude, nous avons bien mangé et bien bu et même s’il était un peu étrange en début de soirée, l’ambiance s’est vite détendue pour revenir à la normale. La nuit passe, tout le monde se souhaite la bonne année et s’embrasse. Quand je me retrouve face à lui, je le sens un peu crispé mais on se fait la bise, et je laisse ma main s’attarder sur son avant-bras pour lui faire comprendre que je n’ai pas oublié, que je suis toujours là.
Les heures défilent, on continue à boire et à rire puis à partir de 4 heures, les autres commencent à partir ou à monter à l’étage pour se coucher. Jusqu’à ce qu’il ne reste plus que nous.
Mon mec a tout juste eu le temps que quitter la pièce qu’il m’attrape et me plaque au mur. « Tu me rends dingue, j’arrête pas de penser à toi et à ta bouche sur ma queue… » il me murmure à l’oreille tout en frottant son bassin contre le mien pour me faire sentir sa bite bien dure à travers son jean. « Je sais qu’il t’a baisé avant de venir, il me l’a dit tout à l’heure. »
Ça ne m’étonne pas vraiment. Mon mec a aucun filtre et a tendance à tout raconter, encore plus à son meilleur pote. « Oui, à quatre pattes dans la salle de bain, » je confirme, ma main glissant entre ses jambes pour saisir sa queue qui tressaille sous mes doigts.
« Tu vas me laisser te la mettre ? Tu dois être encore bien ouvert, petite pute. »
Je me mets à gémir assez fort et il me plaque sa main contre la bouche pour couvrir le bruit. « Je savais que ça te plairait. Ça aussi, il me l’a dit. »
C’est à la fois humiliant et terriblement excitant, que l’on sache que j’aime me faire insulter au lit. Je décide de le titiller un peu pour voir ce qu’il a dans le ventre. « La question c’est de savoir si toi tu vas te dégonfler encore une fois ou pas ! » je rétorque avec un sourire malin.
« Je vais te baiser juste là, sur le canapé. Tu vas prendre ma queue et mon foutre comme une bonne petite salope, et tu iras te coucher avec ton mec, le trou qui dégouline de mon jus. »
Il m’attrape le poignet et me jette sur le canapé avec plus de force que je n’aurais cru possible de sa part. J’ai la tête qui tourne légèrement et avant que je puisse réagir, il a déjà baissé mon pantalon et mon boxer et le bout de sa queue se présente à mon trou.
C’est vrai que mon mec m’a baisé avant de venir mais ça fait déjà une dizaine d’heures et je ne suis plus si ouvert que ça. Heureusement, je l’entends qui crache dans sa main pour se lubrifier. Il rentre sans trop de ménagement mais j’ai l’habitude avec mon mec, et la queue de son pote est plus petite. Et la situation fait que je suis encore plus excité que d’habitude.
« Tu la sens bien ? » il demande en me pilonnant bien fort, et je mords le dossier du canapé pour m’empêcher de crier. L’angle est juste parfait et il frôle ma prostate à chaque coup de rein. Le plus excitant dans l’histoire? La porte du salon n’est même pas fermée et j’entends le bruit de la douche qui coule à l’étage. Au moins une personne qui ne dort pas et qui peut potentiellement nous surprendre. Peut-être même mon mec. « T’imagines même pas à quel point ça fait du bien de sentir une petite chatte bien chaude et accueillante sur ma queue, ça faisait tellement longtemps… Des mois que j’en crève d’envie ! » S’il parle de baiser en général ou de la chatte de mec qu’il est en train de limer, je n’en ai aucune idée et sur l’instant, je m’en moque pas mal, mes bras luttant pour contrebalancer la force de ses coups de butoir. Il me démonte comme j’ai rarement été démonté et je ne me rend même pas compte des gémissements de plaisir qui sortent de ma bouche.
« Je vais plus tenir très longtemps maintenant, » il m’annonce sans jamais ralentir la cadence. « Je vais me vider les couilles et t’inonder la chatte… c’est ton rôle de chienne… De servir les vrais hommes… Putain si j’avais su… » Ses coups de rein redoublent d’intensité le temps d’un instant et je me rends compte très clairement du bruit de ses couilles contre mon cul qui claquent comme des coups de fouet dans le silence de la nuit.
Un, deux, trois derniers va-et-vient et il se fige, et je sens son sperme chaud qui pulse en moi à gros jets. Au bout de quelques secondes, il s’écroule sur moi à bout de force et de souffle et je m’écrase sur le canapé sous son poids.
On reste comme ça cinq bonnes minutes, sa queue toujours dure toujours logée bien au fond, avant qu’il me demande « T’as joui? »
« Non, pas comme ça, pas dans cette position. »
« Il faut que je… » Il ne finit pas sa phrase mais fait un geste avec sa main et je devine la grimace sur son visage.
« Non, pas besoin de me toucher. » Je sens son soulagement sans même le voir. « Il a dû te le dire non ? 100% passif, je jouis avec une queue dans la chatte ou pas du tout. »
Je le sens hésiter, puis il se lance. « La prochaine fois tu m’apprends. Je veux te faire jouir avec ma queue. Tout ce qu’il te fait, je veux le faire. »
Je souris. « La prochaine fois, c’est sûr ? »
« Maintenant que je sais ce que c’est, je compte bien te baiser au moins une fois par semaine. Je paierai l’hôtel si nécessaire. »
Il se retire enfin de moi et je serre le plus possible pour éviter que ça coule partout. « Il a raison, t’es vraiment une bonne chienne… Allez, va te coucher maintenant. Ton homme t’attends. »
Je me relève et me rhabille. Un dernier regard et je monte les escaliers pour rejoindre la chambre d’amis où mon mec dort à poing fermé. Je me glisse dans le lit, la queue dure et du sperme qui coule sur mes cuisses, et m’endors en quelques secondes.
Depuis, on s’écrit tous les jours et on a prévu de se voir dimanche matin. On hésite encore entre l’hôtel, le coin spa du centre aquatique ou en voiture dans un coin tranquille…
Suite…
Pour résumer les 2 confessions précédentes, j’ai sucé le meilleur pote hétéro de mon mec en décembre 2022 et il m’a baisé en janvier 2023 après un concours de circonstances que je vous laisse découvrir ou redécouvrir en allant lire les confessions précédentes…
Bref, après cette première baise intense et palpitante, on s’est fixé un rendez-vous un dimanche matin. J’ai cru qu’il n’allait pas assumer et se dégonfler mais heureuse surprise, le dimanche matin vers 8h00, il me confirme que c’est toujours bon de son côté.
J’enfile mes affaires de sport, petit jogging noir serré et sweat à capuche et je dis à mon mec que je vais faire un footing pour aller éliminer les excès des fêtes. Aucun risque qu’il ne souhaite m’accompagner, il déteste courir.
Je sors et me dirige vers la forêt avoisinante où il y a un parcours de santé. Sur le parking, je repère la voiture de John et le rejoint. Je vois à son visage qu’il est stressé mais je suis confiant, dans quelques instants, je vais lui faire tout oublier. Je l’embrasse sur la bouche et lui mets direct la main au paquet. « Je pense à ta queue tous les jours… » Je lui annonce en reprenant mon souffle. « Trop hâte de te sucer… »
« Ici ? » il me demande, en regardant dans tous les sens. Il est tôt et le parking est désert mais je sais que ça peut très bien ne pas durer.
« Comme tu veux. On peut aller un peu plus loin si tu préfères, il y a des coins tranquilles mais ça pourrait être excitant ! »
Il hésite un instant avant de sortir sa queue de son jean, déjà bien raide. « Vas-y pompe…! »
Je perds pas de temps et m’exécute.
« Putain tu suces encore mieux que dans mes souvenirs… » me dit-il dans un râle de plaisir, sa main dans mes cheveux et ses hanches qui roulent pour me baiser doucement la bouche. « Je vais pas tenir longtemps… »
Et en effet, moins de deux minutes plus tard, je le sens qui se tend et il envoie de gros jets de sperme bien épais au fond de ma bouche. J’avale tout bien docilement et nettoie sa queue jusqu’à ce qu’il devienne trop sensible.
« Désolé, » s’excuse-t-il un peu honteux.
« J’ai rien fait depuis la dernière fois. »
Ça ne m’étonne pas, je l’entends encore raconter qu’il n’a plus touché sa femme depuis des mois.
« T’inquiètes, ça me fait plaisir de te vider les couilles. Une bonne purge ça fait du bien ! »
« C’est clair ! »
On discute encore quelques minutes avant de se dire au revoir et je vais faire un jogging ni vu ni connu, aucune voiture n’ayant pointé le bout de son nez.
Deux jours plus tard, on se donne à nouveau rendez-vous. Il a pris une chambre d’hôtel et passe me récupérer au parcours de santé. Je m’attends à une petite chambre au F1 à la sortie de la ville, connu pour ça, mais non, il a réservé une chambre très correct dans un petit hôtel dans la ville d’à côté. Par soucis de discrétion, il rentre d’abord et je le rejoins en catimini 5 minutes plus tard, sans croiser qui que ce soit à la réception.
Quand j’arrive dans la chambre, il est déjà nu sur le lit, la queue à la main et un tube de lubrifiant à côté de lui. « J’ai trop envie de ta chatte, » il m’annonce d’emblée. « Je veux te faire jouir juste avec ma queue, comme ton mec! »
Je le regarde avec un grand sourire pendant que je me déshabille et je lui grimpe dessus. « Je peux jouir plusieurs fois d’affilée quand je suis au-dessus, » j’explique avant de m’empaler sur lui. Ça rentre tout seul et il est surpris. « Je me suis préparé avant de venir. Tu peux taper dedans. »
Et c’est ce qu’il fait. Il me baise vite et fort, avec de grand coups de reins, comme j’aime. Chose promise chose dûe, je jouis une première fois même pas cinq minutes plus tard. « Ne t’arrête surtout pas! » je lui ordonne, alors il continue et je suis agréablement surpris par son endurance. Je suppose qu’il s’est branlé avant de venir pour pouvoir tenir plus longtemps. J’enchaîne avec un second orgasme et lui continue de me plonger sans ménagement.
« Une vraie chienne… Je le savais déjà, mais putain, je pensais qu’il mentait ou en rajoutait des caisses… Mais non, t’es vraiment une salope accro à la queue… Mets-toi à quatre pattes je vais te prendre en levrette! »
Je m’exécute et même si c’est moins facile comme ça, je jouis une troisième fois, autant partout sur les draps. Il jouit à son tour et je sens son jus bien chaud qui m’inonde. On s’écroule sur le lit et il est toujours en moi, et m’embrasse et me mordille le cou.
« Tu crois qu’il s’en doute? »
Je me suis déjà posé la question mais je n’ai pas la réponse. « J’en sais rien… »
Les mois passent et on continue de se rejoindre dès qu’on peut. En voiture, en forêt, à l’hôtel, quelques fois dans son cabinet (il est kiné), une fois je l’ai même pompé dans les toilettes du cinéma.
En août dernier, il m’a baisé dans le sauna d’une piscine, pas longtemps parce que c’était risqué mais assez pour pouvoir me doser et tasser bien au fond.
Je rentre à la maison et mon mec m’attend, l’air grave. Ça y est, je me dis, je me suis fait griller. Il nous a cramé.
Et c’est le cas. « C’était bien avec John? » me demande-t-il et je sens mes joues qui rougissent.
« Hein? Quoi? Non je… »
Il me coupe net la parole d’un geste de la main.
« Ça fait des mois que j’attends mais tu m’as toujours rien dit. J’ai tout fait pour qu’il craque et qu’il te baise. Le pauvre, ça faisait tellement longtemps que j’ai eu pitié. Et toi je sais que tu as kiffé grave, ma petite chienne… »
Je tombe des nues, j’en reviens pas. Mon mec a tout planifié depuis le début ?
« La prochaine fois je veux vous mater. Et quand il aura fini et que tu seras bien ouvert, son jus me servira de lubrifiant pour bien te démonter et lui montrer comment on baise vraiment une chatte de mec. Faut pas qu’il prenne trop la confiance non plus, tu restes ma petite pute. Maintenant vas t’asseoir à table, j’ai fait à manger. »
Comme d’habitude j’obéis mais j’ai du mal à réaliser. Ça m’empêche pas de bander comme jamais.
J’ai tellement hâte de notre prochain rendez-vous !