La masturbation

La masturbation est un sujet souvent considéré comme tabou, mais elle est en réalité une pratique sexuelle normale et saine

Parlons Onanisme, s’astiquer, étrangler Popol, jouer à touche pipi, faire dégorger le poireau, se satisfaire, se taper sur le noeud, se tirer sur le lacet, se branler … BREF, parlons de la MASTURBATION !

Tout jeune déjà, cette chose entre nos jambes nous attirait. Avant ça même, pendant l’échographie, de nombreux bébés se masturbent dans le ventre de leur mère. Ennuis ? Curiosité ? Quête de plaisir ?

Pour le bébé je ne sais pas, mais chez l’adulte, je suis bien placé pour répondre.

L’homme, de manière générale, joue avec sa bite assez tôt, entre 11 et 14 ans pour la plupart.

Quand il a bien compris comment ça marche et ce que ça apporte … c’est un festival !

La masturbation est un sujet souvent considéré comme tabou, mais elle est en réalité une pratique sexuelle normale et saine. Elle consiste à stimuler ses propres organes génitaux pour ressentir du plaisir et atteindre l’orgasme. La masturbation contribue à améliorer la santé sexuelle en général. Chez les hommes, elle aide à réduire le risque de développer un cancer de la prostate et à maintenir une fonction érectile saine. Chez les femmes, elle favorise la lubrification vaginale et renforce les muscles du plancher pelvien, ce qui peut prévenir l’incontinence urinaire le « stop pipi » marche bien aussi…

Se tirer sur le noeud libère des endorphines, des hormones du bien-être qui aident à réduire le stress et l’anxiété. Ça peut également favoriser un sommeil réparateur grâce à la libération d’ocytocine, une hormone qui provoque une sensation de relaxation et de somnolence et c’est pour ça que les hommes ont envie de dormir après avoir joui.

La branlette permet d’explorer son propre corps et de mieux comprendre ses désirs et besoins sexuels. Cette connaissance personnelle facilite la communication avec son partenaire et peut contribuer à une vie sexuelle plus épanouissante.

Nombreux sont les hommes qui ont besoin de se branler au moins une fois par jour et dans certains cas, 3, 4 fois, voir plus. Dès que vous voyez que ça vous prend du temps sur votre vie sociale, il faut réduire la fréquence de vos plaisirs solitaires.

Bien que la masturbation soit généralement sans danger, il existe quelques contre-indications et précautions. Si la masturbation provoque des douleurs ou un inconfort persistant, il est recommandé de consulter un professionnel de santé pour écarter toute cause médicale, ne négligez pas votre santé sexuelle.

Comme tous autres plaisirs, la masturbation peut parfois devenir compulsive et interférer avec la vie sociale. Si cela se produit, il peut être utile de consulter un thérapeute pour aborder les raisons émotionnelles ou psychologiques qui peuvent vous pousser à ce besoin compulsif.

Trop de branlette ou l’utilisation de produits irritants (tels que des gels douche parfumés) peut entraîner une irritation de la peau autour des organes génitaux. Dans ce cas, il est conseillé de réduire la fréquence et d’utiliser des lubrifiants adaptés, idéalement à base d’eau (lubrifiant de pénétration classique)

Il est important de se laver les mains avant et après la masturbation pour éviter les infections, n’allez pas vous branler avec les mains sales après avoir fait une vidange. De plus, il convient d’utiliser des sextoys propres et désinfectés et de ne pas partager ses jouets sexuels avec d’autres personnes, ils sont personnels.

Pour conclure, il ne faut pas abuser des bonnes choses !

Ne manque pas
une occasion !

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