Je vais vous raconter mon histoire lors de mon année de terminale. J’étais à l’internat et tous les ans les chambres changent, je me retrouve dans une chambre de 3 avec un garçon que l’on va appeler Louis, un petit assez trapu, brun, et l’autre Julien, un grand (1m80) brun, cheveux bouclés assez bien musclé yeux verts il s’habille bien et il voulait aller à l’armée, il avait déjà 18 ans, et très bien monté team chair mais bon je reviendrai sur ça après.
Cette année, j’ai eu 17 ans, toujours aucune expérience sexuelle, je me cherchais toujours même si aujourd’hui je sais que je suis bi.
Donc le premier jour, on s’installe. Je prend le lit un peu caché au fond de la chambre, Louis prend le lit en face de moi et Julien à gauche. J’ai vu sur leurs 2 lits et eux sur le mien, l’intimité n’est donc pas du tout présente. Les 3 premières semaines, on fait connaissance car je ne parlais pas du tout à ces personnes, le feeling passe très bien, j’en profitais pour mater un peu Julien quand il allait à la douche.
Il faut savoir que les horaires de douche sont imposés et que le mercredi après-midi Louis rentre chez lui et ne revient que le jeudi matin.
Donc le mois passe sans aucune dinguerie. Le 2ème mois commence et je sens que Julien me regarde beaucoup, me change et ne détourne pas le regard lorsque je me retourne. Le mercredi Julien vient me voir et lance une conversation autour des meufs, ce à quoi je lui réponds :
« Et toi du coup avec ta meuf ? Ça avance ? »
Il me répond :
« Putain, non j’ai les couilles aussi remplies qu’un taureau»
La conversation s’enchaîne sur du cul, il me livre beaucoup de détails sur ses plans et ses anciennes copines. Puis il me regarde droit dans les yeux et me demande :
« Et toi quel est mon fantasme ? »
J’ai très clairement buggé face à lui puis il me répond :
« T’inquiète, je commence ! »
Il me dit que son plus gros fantasme c’est de pouvoir soumettre sa partenaire sans aucune limite. Je commence à bien bander sous ma couette, il me demande ensuite le mien, ce à quoi je lui réponds que j’aime beaucoup le hard.
Il me regarde droit dans les yeux et me dit :
« Toi le hard pfff, c’est toi qui te fais défoncer ouais ! »
Je me sens vexé et je lui dis que je vais dormir et lui demande d’aller éteindre la lumière. Il se lève et je vois une magnifique bosse sous son short.
2 semaines passent sans aucune allusion au sexe ni à ce qui s’est passé. Toujours le mercredi, je reviens de la douche et Julien m’interpelle dans la chambre et me dit :
« Attends, retourne-toi un peu ! »
Je me retourne en croyant qu’il voulait me montrer quelque chose, puis je sens ses 2 grosses mains me toucher le cul. Je me retourne surpris et il me dit : « Putain y’a un bon cul là, on dirait celui d’une meuf. »
Puis, il me dit :
« Ca a dû bien te plaire vu la bosse ! »
Je me retourne dos à lui, direction le bureau. Ultra gêné de ce qu’il se passe, il me dit de revenir me placer et me dit :
« Ne bouge pas tu vas kiffer ! »
Il me repousse contre le bureau puis met ses grosses mains entre mes fesses puis écarte bien pour voir mon trou. Il me met des petites claques et me dit :
« Tu vois, tu kiffes ça hein grosse pute va ! »
Je suis littéralement en transe, j’ai chaud. Je sens ses mains, puis d’un coup je le sens contre moi avec sa queue. Il bandait bien fort, lui aussi. Il commence à me donner de bons coups de bassin. Puis on entend le surveillant au loin dans le couloir alors on décide d’arrêter et de retourner se coucher. Je lui demande quand même, en pensant qu’il était hétéro, ce à quoi il me répond :
« Je suis bi et je compte bien t’utiliser cette année ! »
Toujours pareil dans la semaine, on se mate bien. J’ai le droit à une grosse claque sur le cul le lundi soir. Le mercredi, il m’écrit un message en cours en me disant qu’il avait très envie d’être ce soir. Je commence à bander légèrement. On passe l’après-midi chacun de son côté. Je décide de rentrer vers 18 h, je vois que Julien est déjà dans la chambre. Je pose mes affaires et on commence à parler. Je vois qu’il se touche la queue, je fais de même.
Puis d’un coup Julien arrive vers moi, me porte et me pose sur son lit, sur le ventre. Je sens qu’il se touche, puis me met des claques sur le cul, il y va pas de main morte.
Il me retourne, me galoche et me lèche le cou. Je décide de changer les rôles, je me mets sur lui, lui lèche le cou, je lui mors le lobe d’oreille, ce à quoi il pousse un bon râle.
Je lui demande d’enlever son teeshirt et son pantalon, je lui lèche les tétons, les abdos, puis je commence à sentir sa grosse queue. Je sens qu’il bande déjà bien, je lui demande si je peux, il me répond d’un ton sec : « dépêche-toi de sucer, sale pute ! »
Je sors alors sa queue un bon 18/4. Je fais ce que je peux pour sucer sa queue. Il me laisse faire sans intervenir. Je l’ai sucé pendant un bon 5 min, puis d’un coup il me prend par les cheveux, me met debout, me jette sur son lit, la tête en dehors du lit et commence à me dire d’ouvrir la bouche. Il commence les va-et-vient, j’avais l’impression de m’étouffer sur sa queue, je bavais, ça coulait sur le sol.
Il gémissait fort et me mettait des tartes en même temps sur la gueule.
Au bout de 10 min, il me dit que ça va venir et ne me laisse pas le choix. Il éjacule au fond de ma gorge, je sens 9 bons jets de sperme. Il ne m’avait pas menti, ça faisait longtemps qu’il attendait. Il me dit de tout avaler. Je décide de faire comme si rien ne s’était passé.
Le mercredi d’après, il me demande si ça me tente de baiser. Je lui dis que ça risque d’être chaud. Il me dit :
« T’inquiète je vais faire doucement ! » Je ne l’ai pas cru sur le moment mais bon.
J’allais à la douche c’était un mercredi férié donc il n’y avait presque personne. Quelqu’un toque à ma porte de douche, j’ouvre pour voir et là je vois Julien qui rentre dans ma douche. Je lui dis que l’on va se faire choper et qu’il ne faut pas faire ça. Il me dit :
« tranquille, y’a personne, et au pire je te soulève si quelqu’un vient ! »
Je suis septique, je commence ma douche avec lui. Il me demande de lui savonner le dos. J’en profite pour lui demander la même chose, mais je sens ses mains déraper au niveau de mon cul, je sens qu’il titille mon trou. Je lui dis de me plaquer contre le mur et il commence à me doigter, mais depuis personne ne m’a aussi bien doigté.
Je commence à faire beaucoup de bruit, je prends mon pied. Il met sa main devant ma bouche, puis enfin je sens que ça s’arrête. Je le sens descendre, il commence à me lécher le trou. Je suis en extase, je me retourne pour le sucer à mon tour. Il met ses mains derrière ma tête pendant un moment pour donner le rythme. On décide de se sécher et de finir dans la chambre.
On se pose sur le lit, il me dit de ne pas stresser et que tout va bien se passer. Il met du lubrifiant sur sa queue et sur mon trou, et il commence à rentrer. Je sens son gros gland me pénétrer en douceur. Je sens que ça a du mal à passer et à avoir mal. Je lui dis de faire doucement et d’attendre un peu, il a été très doux et patient.
Une fois sa queue rentrée, il commence à s’activer lentement. Je lui dis que j’aime beaucoup, on était en missionnaire, il m’embrasse en même temps. Il me demande s’il peut accélérer. Je lui dis que je suis à lui, puis d’un coup, il me met des énormes coups de rein de plus en plus vite. Il me dit d’ouvrir la bouche et me crache dedans et me galoche juste après.
Il alterne les coups rapides et très lents, je transpire de partout, lui aussi, on se croirait au sauna. Je suis au bord de l’orgasme et du malaise, il continue et me dit qu’il va éjaculer. Il me pilonne le cul super vite, je jouis de plaisir, il m’étrangle avec sa main et jouit en lâchant plusieurs gros râles. Je suis mort épuisé, il m’a détruit.
On décide de se lever, je l’embrasse et lui dit « merci ». On va se doucher à nouveau, on séche les draps car bon j’ai beaucoup aimé, on va dire, et il me propose de dormir ensemble. Ça restera à jamais la meilleure nuit de ma vie.
