Lors de mon séjour à Prague, j’ai décidé de me rendre dans un sex-club. J’avais pas fait gaffe au dress-code du jour : soirée cuir. J’étais pas équipé. Le type de l’accueil n’a pas fait son difficile, et me laisse entrer. Il est d’ailleurs très mignon : jeune, brun, barbu et raisonnablement musclé, avec ce petit clin d’œil coquin qu’il doit réserver aux clients qu’il trouve à son goût. Je découvre l’ambiance des donjons pour mecs tchèques : un décor bien SM hard, vieillot mais toujours dans le ton, avec une faune très, très bien assortie. Il y a de la cuissarde, des bottes, des jocks, des harnais en cuir magnifiques, portés par des hommes qui le sont tout autant. Je reste habillé, en sneakers, fut et en t-shirt. Je passe dans la zone de cruising. Ça sent la sueur et le foutre à plein nez. Un jeune gars est attaché avec des bracelets de force en cuir à un sling, les yeux bandés, son cul dégouline de jus et de lubrifiant à fist, il est destroy, et à dispo. Autour, des mecs en harnais, bodybuildés, s’astiquent le membre pour le fourrer. Je passe mon chemin pour aller vers la zone sombre. Les sens s’éveillent sans la lumière. On sent le souffle chaud des mâles rassemblés. J’en touche un de ma jambe. Il est penché à sucer un mec pendant qu’un autre le baise par derrière. Les corps en sueur se touchent, se caressent, glissent, sans se voir. L’extase. Bienvenue à Prague…
D’un coup, je sens que je me fais plaquer violemment contre le mur. Je suis surpris par la violence de l’acte. Son bras puissant est collé contre mes omoplates. Il me chuchote un ordre en tchèque. Je ne comprends rien. Il ne cherche même pas à savoir : il baisse mon fut, et me rentre sa queue en moi. J’ai le souffle coupé, je comprends à peine que je suis en train de me faire baiser. Il plaque son corps musclé avec force contre moi. Je me laisse faire. J’aime ce qu’il fait. Il ne met pas longtemps avant de me doser. Il lâche tout bien en moi, puis se retire et me laisse contre le mur, le trou dégoulinant de son jus. J’ai pas le temps de dire ouf qu’un autre se pointe et me fourre sa queue dans mon trou suintant. Il est plus vieux, avec un ventre rond et ferme, et une queue petite mais bien épaisse. Je la sens bien. Il me pilonne sans pitié, et me lâche sa dose. Il s’en va. Direct après, je sens une langue me laper le cul, dégustant le sperme qui s’écoule. Je ne bouge pas, jambes bien écartées, les fesses en arrière pour le laisser faire. Il remonte, me caresse le ventre, le torse, se rapproche de moi, et me chuchote à l’oreille en anglais : “tu as déjà été bien marqué, tu en veux plus?”. Je lui réponds évidemment que oui. Puis, il m’enlace, je sens sa barbe qui me pique le cou quand il m’embrasse, son harnais de cuir contre mon dos, et sa queue, longue, lisse et généreuse, qui glisse dans mon trou sans difficulté. Il me baise avec douceur, son dard me tape au fond du cul, ça m’arrache des petits cris. Je me plaque contre le mur pour m’appuyer, j’ai les jambes qui flagellent, après m’être fait enfiler à 3 reprises. Il se colle encore plus à moi. Je sens que son va-et-vient est tellement fluide (à cause du jus des deux autres qui me sont passés dessus) que ça monte très vite. Je le sens se raidir, puis grogne en rythme avec les contractions de sa queue. Il m’inonde, encore plus que les deux autres. Il retire sa queue, et plaque sa main contre mon trou, me faisant comprendre que c’est mieux si je garde sa semence, me roule un patin et me chuchote en anglais : “Bienvenue à Prague !”. Je sors avec lui, et en pleine lumière, je le reconnais : c’était le type de l’accueil.