J’étais dans l’ascenseur de mon hôtel. Un peu absent, l’esprit occupé à autre chose, j’avais envie d’une baise à l’hôtel. Une main se place entre la porte qui se ferme pour le retenir. Je lui demande quel étage. Le même que le mien. C’est un très jeune mec, assez petit, avec un petit diamant en boucle d’oreille. Il avait les cheveux noirs, assez courts, mais coupés comme les jeunes aiment, avec cette petite longueur sur le dessus qui donne un côté décoiffé quand tu mets de la cire… Il avait une gueule d’enfant, avec très peu de barbe, une petite bouche avec un sourire en coin très charmant et des yeux azur perçants… très perçants. On se mate du coin de l’œil, mais il ne se passe rien. Arrivé à l’étage, je file vers ma chambre, lui vers la sienne.
Dans ma chambre, je mets quelques minutes avant d’allumer une appli de drague bien connue, et je reçois un message du profil à 0m, sans photo. Son anglais est approximatif, mais explicite : « on s’est vus dans l’ascenseur, tu viens jouer ? ». Il sait ce qu’il veut. Je sors dans le couloir, et je vois une chambre avec le battant qui laisse la porte entrouverte. Je sais que c’est là. Je rentre, je ferme la porte derrière moi, et je le trouve, à poil, en jockstrap, à quatres pattes sur le lit, les fesses bien cambrées vers l’arrière. Je m’approche. Son corps est lisse, peu sculpté mais tonique. Il doit avoir à peine 20 ans. J’approche ma bouche de son anus lisse et bien rasé de près, et je commence à lui faire une feuille de rose. Il gémit doucement, il frissonne, semble étonné de mon entrée en matière. J’ai l’impression que c’est la première fois qu’il se fait lécher le cul. Il adore ça. C’est un délice. C’est doux, propre, et tout lisse, ça passe comme dans du beurre. Je lui pénètre le trou avec ma langue. Il crie doucement, il aime ça. Je lui glisse un doigt, puis deux. Il s’effondre de plaisir. Puis il se reprend, et vient blottir sa tête entre mes jambes. Il a faim. J’enlève mon pantalon. Il me renifle le paquet, commence à passer sa langue sur ma bosse. Je n’attends pas, je retire mon boxer, et lui donne mon membre à déguster. Il le lèche immédiatement. D’abord doucement, juste avec la langue pour le goûter. Puis il commence à mettre le gland dans sa bouche pour le suçoter doucement. Il est gourmand. Il vient de plus en plus bas. Je lui prend la tête et la pousse pour qu’il la prenne jusqu’au fond de sa gorge. Il ne résiste pas, et reste avec la queue plantée au fond une bonne quinzaine de secondes. Il essaye de déglutir pour me branler avec sa gorge. C’est doux, c’est chaud, il sait sucer une queue, le salaud. Pendant qu’il me travaille la verge, je retourne fouiller son trou avec mes doigts. Il ne s’y attendait pas. Il gémit de plus en plus, et doit s’arrêter de me sucer. Ça sature ses neurones, le petit loup. Il sait plus où il est. Il est mignon à perdre les pédales et à avoir le souffle coupé. Je le laisse tranquille, mais il plonge son regard bleu acier dans le mien, embué par le plaisir et la luxure, et me dit sans équivoque : « t’arrête pas ». Je m’exécute, et je lui travaille le cul avec mes doigts. Il se dilate, s’ouvre comme une fleur. Je sens qu’il est prêt. Lui aussi. Il s’allonge sur le côté. Je comprends qu’il veut que je le prenne en cuillère. Je m’allonge à ses côtés. Je l’enlace. Son corps est chaud. Il frissonne à mesure que je passe mes mains contre son torse et son ventre. Je l’entends gémir dans un souffle. Il ferme les yeux, tend sa tête vers moi. Je l’embrasse à pleine bouche, tout en approchant ma queue de son trou. Il a tellement mouillé que j’ai pas besoin de lubrifiant. Je m’impose doucement en lui, le serrant contre moi au fur et à mesure. Je vois dans ses yeux qu’il est submergé par le plaisir. Pas une crispation de douleur, pas un cri. Il encaisse, avec ses beaux yeux qui crient braguette. Il cambre ses fesses pour que je pénètre plus loin. Je commence à le limer doucement. Il aime ça, il en avait besoin. Je lui donne ce qu’il demande, blotti contre moi, mon membre bien au fond de lui. Il me fait des mouvements de bassin pour me montrer ce qu’il veut. On joue comme ça pendant un bon quart d’heure. Je le tiens dans mes bras, l’embrassant dans le cou, puis à pleine bouche quand il tourne sa tête et m’appelle de son regard azur. Je lui passe la main dans les cheveux. Il aime qu’on s’occupe de lui. Je le sens se tourner à plat ventre. Il veut s’offrir complètement. Je sors de lui, j’observe allongé sur le lit, les jambes bien écartées et en grenouille, pour me laisser le plus de place pour le pénétrer. Les choses sont claires. Je me mets derrière lui et lui fourre mon membre jusqu’à la garde. Il est surpris que ça tape au fond. Il échappe un petit cri : « c’est si bon ! ». Je lui pétris son cul avec ma queue, lui, en kiff, roule ses jambes autour des miennes, pour bien que je comprenne que je n’irai pas ailleurs ! Ça monte bien, je lui tire les cheveux doucement pour le cambrer. Il s’exécute immédiatement et se met à 4 pattes, comme quand je suis arrivé. Je décide de le prendre en levrette. Là, il fourre son visage dans un coussin et hurle de plaisir. Ses mains tombent le long de son corps. Le bassin cambré en hauteur, il me caresse les jambes et me dit « tiens mes mains ! » Il a envie de se faire dominer. J’accède à sa volonté, je lui tiens ses mains par les poignets pendant que je le baise comme une chienne. Il sent mon souffle s’accélérer. Dans un cri étouffé par le coussin, il hurle « t’arrête pas, remplis-moi ! ». Faut pas me le dire deux fois. Je finis par vider ma queue dans son trou, bien généreusement. Je me laisse tomber à côté sur le lit. Lui, ne bouge pas, reste allongé, à respirer profondément. Je le caresse, il ne réagit pas. J’ai l’impression qu’il a fait un blackout. Je le laisse tel quel, et rentre dans ma chambre. Une heure plus tard. Il m’envoie un message pour me remercier avec enthousiasme, qu’il ne pensait pas arriver à bugger en pleine baise comme ça, et qu’il adorerait recommencer….