Au club avec Erwan

Un souvenir m’est revenu il y a peu de temps après avoir croisé Erwan par hasard, nous étions au Club avec Erwan…

On revient à mes 25ans et à cette époque-là, je travaillais en bar, en restaurant, en club, j’enchainais ces trois jobs par passion pour le monde de la nuit et aussi pour me permettre de faire toujours plus de rencontres. A cette époque, j’avais très peu de besoin en sommeil et je profitais de tous les plaisirs que j’avais à disposition.

Un jeudi, alors que je terminais mon service au bar à 18h, un ami arrive avec une connaissance à lui. Je vais passer sur mon ami qui me connait très bien puisqu’on a fait des dingueries ensemble, des exhibes, des plans à plusieurs où il s’amusait à prendre l’ascendant sur moi en utilisant des actifs et en glissant leur queues en moi comme des toys … mais c’est une autre histoire. 

Ce jour-là, il me présente Erwan, un beau jeune homme de tout juste 18 ans, petit gabarit, moins de 1m70, très fin et dessiné, un smile qui éblouit et qui intimide. Donc on discute quelques minutes au bar avant que je leur indique que je dois aller faire la mise en place pour l’ouverture du club. C’est décidé, ils viennent avec moi. Sur la route, je découvre la personnalité d’Erwan et je le trouve vraiment charmant, nous avons deux kilomètres à faire à pied entre le quartier saint François et le quartier de l’Eure où se trouve le club. Arrivé au club, j’ouvre et désactive l’alarme puis fait entrer les deux gars. Je passe derrière le bar et allume une partie des lieux puis commence ma mise en place en discutant avec eux. Erwan est assis au bar et à tendance à avoir un regard perçant et cherche mon regard. Je suis un peu intimidé ce qui est assez rare pour moi. Mon ami finit par nous laisser en me faisant un clin d’œil. J’ai bien avancé en discutant un peu avec Erwan et en voyant que le boulot avance vite, je décide d’une pause. Nous traversons la pièce pour prendre l’escalier du club et monter au premier étage et aller dans le patio. Un grand patio sans aucun vis-à-vis, protégé du vent et très confortable. Nous allumons tous les deux une clope en étant séparés de 3 ou 4 mètres. Il est debout face à moi et il retire sa veste et je découvre un t-shirt jaune avec un logo mimant une fellation et le texte « S*ck-me i’m famous ».

Je finis ma clope et m’approche de lui, je touche du doigt le logo de son t-shirt et lui dit :

« quand tu veux ! ». Il écrase sa clope et me répond « Maintenant !»

Il me sourit et ses mains se dirigent vers son jean et se mettent en position pour le déboutonner. Il attend un imperceptible moment pour voir si je suis sérieux et mon regard lui donne l’accord de continuer. Je ne regarde que ses yeux jusqu’à ce que son jean soit ouvert. Il saisit ma main et la glisse sans son boxer et là c’est le choc pour moi ! Comment un si petit gabarit peut avoir une bite aussi grosse ?

Impossible pour moi d’en faire le tour avec une main et environ 20cm de long. C’est impressionnant surtout qu’il ne bande pas vraiment vu comme sa bite n’est pas dure.

Il approche ses lèvres des miennes et nous nous embrassons avec passion quelques instants. 

De mon côté, je suis déjà en érection totale mais ma bite est bien rangée dans mon jean. Je sens la bite d’Erwan durcir dans ma main et gagner un peu de diamètre et peu de longueur. Finalement sa bite aura gagné moins de 2 cm de long, ça semble petit mais on part d’une grosse queue de base. Nos lèvres se séparent et je baisse les yeux vers cette bite qui remplit ma main et que j’ai envie de sucer. Je m’agenouille devant lui sans le lâcher du regard et ouvre très grand ma bouche, je veux commencer par une gorge profonde pour lui montrer mes talents. Je pose son gland sur ma langue et pose mes mains sur ses fesses musclées pour le tirer au fond de ma gorge. Sa queue entre petit à petit dans ma bouche et pénètre ma gorge, il semble aimer et me gratifie d’un « oh putain ! ». Je garde sa queue quelques secondes en fond de gorge, le nez dans ses poils pubiens. Sa queue est délicieuse et j’aime vraiment la sentir occuper tout l’espace libre dans ma gorge. Je sens que ma capacité à respirer et rester en vie ne dépend que de son bon vouloir à laisser l’air passer et remplir mes poumons. Erwan me relève et m’embrasse à nouveau. De ses mains, il ouvre mon jean et salive sur deux de ses doigts et les dirige vers mon cul puis me masse l’anus avec soin. Il m’embrasse encore en me faisant du bien, je gémis franchement. 

Quelques minutes après, mon anus semble bien plus souple et lorsque ses lèvres quittent les miennes, il me demande s’il peut me prendre. Pour toute réponse, je baisse mon jean et mon boxer sous mes fesses et je lui tourne le dos. Sa queue arrive juste à hauteur de mon anus mais je pense que ça ne se fera pas sans encombre. Erwan se saisit de sa bite et fait glisser son gland sur mon trou. Il secoue un peu sa queue collée à mon trou et décide de descendre glisser sa langue contre mon trou. J’apprécie le moment sachant qu’on est seul dans le club, que personne ne peut entrer et qu’on a du temps avant que ça paraisse suspect.

Il se relève et vient repositionner son gland sur mon anus. Je pousse pour le faire entrer en moi et il saisit mes hanches pour reprendre la maîtrise de la pénétration. Je souffle beaucoup mais j’ai bien l’intention de sentir cette magnifique queue en moi et de passer la soirée remplis de son jus. Une fois bien au fond de mon cul, il attend quelques secondes de sentir mon anus se détendre et commencer une baise très hard. Son bassin claque très fort contre mon cul et je sens que ça ne va pas s’éterniser. En quelques minutes, 2 ou 3 tout au plus, je sens sa bite se raidir en moi et éjaculer au plus profond de moi. Erwan est maintenant immobile. Nos respirations sont intenses et sa queue, toujours au fond de moi, commence à mollir. Il fait quelques allers et retours dans cet état pour tasser un peu et retire sa queue doucement. Une fois sorti, je me retourne et décide de nettoyer sa queue à la bouche. Quelques traces de sperme sur sa queue sont un délice. Il me fait remonter et m’embrasse puis s’excuse d’avoir été si rapide et que si je suis sage, j’y aurai droit après mon service.

Je précise à l’équipe bar qu’Erwan est mon invité et que toutes ses consos sont pour moi. Mon service se passe très bien, je suis toujours charmant à draguer plus ou moins les clients. Mais c’est dans ma nature, avec 99% d’entre eux, il ne se passera jamais rien.

La soirée finie, il est 5h du matin et le club se vide de ses clients. Le bar est maintenant propre, le club est rangé et l’équipe de ménage a fini son travail. Les derniers employés quittent les lieux et je me retrouve à nouveau seul avec Erwan. Je lui précise que je dois faire un dernier tour pour vérifier que tout va bien avant de fermer pour de bon le club et profiter du fait que j’ai été sage, plus ou moins…

Je commence par l’étage et range les dernières chaises puis passe par le patio. Je replace quelques coussins et entre à nouveau. Je descends les marches et m’occupe de la salle du bas. Je passe par la cuisine et verrouille tout puis je passe par les toilettes et je vois Erwan. Il est debout, face au mur des pissotières. Un long mur d’acier duquel coule une cascade d’eau en permanence. Son jean et son boxer sont sur ses chevilles. J’en fais le tour et termine ma vérification par toutes les cabines avant de me coller à Erwan et saisir sa bite de la main gauche puis partir à la recherche de son téton de ma main droite. Mes lèvres sont en train de découvrir sa nuque et je sens son énorme bite réagir à nouveau et prendre du volume. De sa main droite, il vient me doigter l’anus aidé par son jus déposé en moi quelques heures auparavant. Il se tourne pour me faire face et m’embrasse. Il me prend par la main et nous nous retrouvons dans le club vide. Lui est presque nu puis il commence à retirer mes vêtements les uns après les autres. Les vêtements volent également dans toute la pièce. Nous sommes maintenant nus et debout dans le club, sa bite me pénètre avec force. La glisse est parfaite, je le sens bien me pénétrer et aucune douleur ne se fait sentir. Il me prend contre le comptoir du bar quelques minutes. Nous changeons de positions et il s’assoit sur l’escalier, je m’empale sur lui de face et nous continuons avec toujours plus de force à nous faire du bien. Marches après marches, nous nous retrouvons vite au premier étage. Erwan continue de me prendre sauvagement contre la balustrade du premier avec une vue plongeante sur le niveau du dessous. Sachant qu’on est seul, je ne gémis pas, j’hurle de plaisir. Nous finissons par nous retrouver dans le patio à nouveau, là où tout a commencé. Il m’allonge sur l’un des canapés et me baise bien fort. Le moment est merveilleux, nous sommes luisants de sueur et je sens mon cœur battre dans tout mon corps tellement le moment est intense. Il s’allonge sur moi (et en moi) et me câline longtemps. Son bassin bouge doucement en moi jusqu’à ce que je sente sa respiration s’intensifier et qu’il déverse son plaisir en moi dans un râle profond. Nous restons là quelques minutes à reprendre notre souffle. Ce fût le début de notre petite histoire qui dura moins d’un an mais qui sera intense en sexe.