Les 5 lascars gays

Ces 5 lascars gays sont des mecs de cité plutôt bien monté qui vont dominer un mec pour assouvir leurs envies de sexe avec un mec en manque

Un soir, je rentre dans mon immeuble de Saint-Denis après une dure journée de boulot. Arrivé chez moi, je commence à faire quelques pompes, des squats, pour garder la forme. Tous ces exercices me chauffent un peu, alors je commence à me caresser le paquet sous le jogging. Mais soudain, je sens une odeur de joint… Encore les squatteurs dans la cage d’escalier ! Énervé, je vais les prévenir qu’ils doivent dégager. Arrivé dans les escaliers, un groupe de 5 lascars gays fume, rap en fond.

« Les gars, vous ne pouvez pas fumer ici ! 

– Oui, oui, on va y aller.

– C’est ça.. maintenant, s’il vous plaît ?

– Où tu vas faire quoi ?

Un peu intimidé dans le fond par leur audace, je commence à me demander comment je vais me sortir de ce pas.

– Ce n’est pas la première fois que je vous le dit, allez fumer ailleurs !

– ouais, ouais… « 

Ils se regardent, me jugent, et se regardent de nouveau avec un rictus. Ils se lèvent.

– Merci ! 

Je m’apprête à faire demi-tour et rentrer chez moi, quand je me rends compte qu’ils ne descendent pas, mais plutôt qu’ils me suivent. 

– vous faites quoi ? Eh ! 

Le plus proche de moi, un rebeu, la trentaine, casquette, survêt, TN et joint à la main, m’agrippe l’épaule. Je me retourne, à 2 cm de son visage. Il plante ses yeux dans les miens, je peux sentir la fumée qui sort de ses lèvres. Je peux détailler chaque mouvement de ses muscles sur son visage. Quand il me parle, j’en frissonne de stress.

– Tkt on se casse ailleurs… Chez toi par exemple !

Là, il me plaque sans ménagement contre la porte, commence à me fouiller, je sens la chaleur de ses mains entrer dans mes poches, il me colle littéralement, je sens son paquet à travers nos joggings moulants. 

Putain… Faudrait pas que la situation m’excite quand même !

Il n’a pas l’air de se rendre compte de mon trouble. Il déniche mon trousseau, lance à son pote derrière et tous éclatent d’un rire gras. 

– Stop ! Arrêtez ! À l’ai..mmmmfff

– La ferme sale pute ! Ici c’est nous qui commandons ici, me souffle l’un des gars dans l’oreille. Mon sang ne fait qu’un tour. 

Les 5 rebeus rentrent chez moi, et me tirent à l’intérieur. J’ai beau me débattre, leurs bras m’empêchent de m’extirper de leur emprise. Je sens leur corps chauds et une légère odeur de sueur m’enivre ou probablement un effet de la fumée. Profitant d’un léger relâchement, ils trouvent la chambre et me jettent sans ménagement sur le lit. La tête dans les coussins, j’essaie de me retourner mais je sens plusieurs d’entre eux me bloquer. La situation m’échappe complètement.

– On va lui montrer à ce petit toubab qui commande ici, me crache l’un d’eux.

– Si on lui donnait une leçon à cette petite lopesa ? lance un autre, pendant que des mains me tiennent le cou, et que d’autres s’agrippent les jambes.

Quand j’arrive à tourner la tête, je vois que deux mecs se tiennent sur le bord du lit, la main caressant leur paquet à travers le jogging. Je commence à réaliser ce qu’ils veulent me faire.

– Putain, il a un petit cul bien moulé ce bâtard, ça va être notre fête.

Là, je sens des mains qui me pétrissent les fesses, jouent avec mon trou, commencent à glisser sous le jogging. 

– naaan, c’est une vraie pute en fait ! Il se rase la chatte ahah !

Je vois une énorme bite pas rasée sortir d’un boxer et me coller au visage. Son odeur est très forte, ça me monte aux narines et jusqu’au cerveau. Il s’amuse à frotter sa queue. Malgré moi, mes narines se dilatent et mon anus se serre d’un coup. Un des mecs en profite pour me doigter. Puis il me baisse le jogging sans ménagement et me balance des insultes. Un des gars s’assoit sur ma jambe et m’attrape le paquet.

– Allez tiens bien ce chien en laisse, ta queue sert à rien, on est juste là pour ta chatte !

Puis il descend mon boxer et me frappe les fesses. Je crie mais l’un d’eux, qui se touchait la teub, me plaque sa main sur la bouche. Je sens son odeur virile de bite et je ne peux m’empêcher de renifler.

– Tiens-toi calme, sinon on va te défoncer !

– On va le défoncer de toute façon ahah !!

Je reçois des fessées et, semble-t-il, des crachats. L’un d’eux monte sur le lit avec ses TN et me met face à lui. 

– Vas-y lèche, tarba, montre que t’es une sale pute ma grande !

Surmontant mon dégoût, j’obéis et je commence à poser mes lèvres sur les baskets. Elles sont clean, peut-être neuves. Mais cette humiliation, étrangement, m’excite.

– Putain tu kiffes en fait ! C’est ça, l’odeur de tes maîtres, ça te rend chienne hein ?

Je comprends que pour ne pas trop douiller, je vais devoir être obéissant. Je gémis et ils éclatent de rire.

Mon cul se fait martyriser sans ménagement, mais je reçois une grosse quantité de crachats, ce qui facilite le doigtage. Mon trou s’élargit progressivement.

Celui qui m’avait biflé commence à poser ses couilles sur mon visage, sentant que je coopère. Je renifle avec force et son odeur me fait vite vriller. J’ai à peine le temps d’apprécier la scène, 4 mecs la queue à l’air, debout autour du moi, que le 5e retire les coussins et s’assoit devant moi, me cale la tête entre ses cuisses et m’ordonne :

– Avale !

Je commence à lécher son gland circoncis, d’un diamètre impressionnant. Ses mains me forcent à prendre très vite l’intégralité de sa queue. Je manque de m’étrangler, les larmes me viennent. L’odeur de son entrejambe m’invite à couiner. 

Soudain, l’un d’eux frotte son gros chibre contre ma rosette. Je sens qu’il force le passage. J’ai à peine le temps de pousser qu’il rentre d’un coup en poussant un râle. Je gémis, d’une voix étouffée, sentant qu’il est allé direct jusqu’au fond. La quantité de salive qu’ils m’ont tartiné a évité trop de douleurs. 

– On va te mettre enceinte petite pute, ça va t’apprendre le respect !

Excité par ces paroles, je m’ouvre complètement. À chaque coup de rein, je sens sa bite au fond qui me fait une drôle de sensation. Ma bite durcit. 

D’un coup, deux mecs me soulèvent. Je me retrouve, cette fois sur le dos, allongé sur un des gars sous moi. Ses bras m’enserrent le torse. Je sens son visage contre mon oreille, et son corps encore habillé,  bien musclé, me faire un matelas dur et chaud. Sa bite se glisse entre mes cuisses.

J’ai enfin le loisir d’apprécier la scène. 3 des mecs sont encore debout, à se branler. Le 4e, celui qui m’avait arraché les clés, et probablement le leader et le plus viril, est accroupi devant mes fesses. Il me lève les jambes d’une main, tandis que de l’autre il se caresse les abdos. De la main d’un des mecs encore debout vient une étrange lumière. Putain ils filment !

 – Ca c’est pour se souvenir qui c’est les chefs ici. T’as compris hein ma belle ?

Le gars qui me tient les jambes se met soudain à poil, en gardant juste la veste de survet. Il retire son boxer et vient me le serrer autour du visage. Encore bien chaud et humide… Je ne peux m’empêcher de faiblir d’un coup, relâchant tous mes muscles. J’ai ses phéromones qui me remplissent le cerveau. C’est comme si j’avais du poppers qui me montait dans toutes mes fibres de mon corps.

Hilares, ils se mettent à me recouvrir la tête de leurs aisselles, de leurs pieds, etc… 

Je suis au comble de mon plaisir. Ces odeurs de mâle me font couiner et je bande comme jamais.

Le gars sous moi en profite pour diriger sa bite contre mon cul. J’avais eu le temps d’apercevoir une bite impressionnante, bien poilue, sauf au niveau des couilles. Je m’attends à ce qu’il me pénètre bien fort. Mais je ne m’attendais pas à ce qu’ils s’y mettent à deux ! Après un regard complice, le mec de devant joue aussi avec son gland et force à nouveau le passage. Le gars du dessous en profite pour rentrer.

Je me retrouve en sandwich, les jambes en l’air, le jogging à demi baissé, et mon cul pilonné par deux énormes chibres. Je suis maintenu dans cette position par de puissants bras, la tête sous un vieux calbut, filmé par 3 mecs qui se touchent. 

Le mec de devant m’agrippe la bite et serre ma base, comme une laisse. Le plaisir, déjà haut, monte encore d’un cran. À chaque coup de rein, il serre sa prise. Le mec du dessous, tout en ahanant d’une voix grave, a son visage tout près de mon oreille. Probablement mû par l’excitation, il commence à m’embrasser le cou et l’oreille. De la part de mecs qui veulent juste s’amuser avec un vide-couille, cette tendresse surprenante me fait perdre ce qu’il me restait de contrôle. Et cela finit par arriver. Incapable de me retenir, les sensations se brouillent, une vague de chaleur me descend tout le corps. Les picotements envahissent mes couilles et je balance la sauce. Je jouis tout en couinant et je tartine mon t-shirt jusqu’au cou. 

Mes contractions incontrôlées serrent mon anus, ce qui a pour effet de faire davantage d’effets aux deux bites qui me prennent. Avec des coups forts et réguliers, le rythme devient aléatoire. Je sens leurs couilles qui claquent contre mes fesses avec un bruit humide. Le mec en face de moi me pétrit le bassin et je sens qu’il va jouir. Son visage se contracte et ses yeux en amande se ferment. Il balance des gros râles et vient caler ses couilles contre mes fesses. Je sens ses vagues de sperme envahir mes entrailles.

Le cul bien lubrifié, la bite du mec dessous de moi continue ses allers-retours, mais il ne tarde pas à jouir lui aussi. Soudain, ses expirations ont des ratés, sa voix gémit dans mon oreille. Il me serre avec beaucoup de force et crache abondamment sa semence au fond de mon trou. 

Excités par la scène, les trois autres lascars s’approchent de ma tête et à leur tour, se vident sur moi. 

Je me sens sali, marqué, à leur merci, comme une morceau de leur territoire, leur propriété mais cette situation ne me déplaît pas. Ils nettoient leur bite avec mon t-shirt et se rhabillent. Ils rigolent et je reçois quelques crachats, pour finir de m’humilier. Le dernier à partir est le mec sous moi, qui semble tarder à suivre les autres. Il se relève et je retombe sur le côté, sans forces. Il ne me regarde pas, il a l’air gêné caché derrière son attitude ultra virile.

Il finit par se mettre debout, remonte son jogging et quitte la chambre, me laissant seul, ouvert comme jamais, la chatte dégoulinant de sperme d’inconnus, le corps trempé de sueur et de jus. 

Après 5 minutes peut-être, je finis par reprendre mes esprits. Je file sous la douche et me nettoie le corps et le trou. En poussant, mon anus rejette des quantités étonnantes de sperme. A croire qu’ils n’avaient pas joui depuis des lustres ! Peut-être que leurs copines ne leur donnent pas autant satisfaction qu’ils le voudraient. 

En tout cas, je suis prêt à faire l’impasse sur leur squat dans le couloir s’ils me rendent une autre visite à l’occasion.

Je sors de la douche, et je reviens à l’entrée pour fermer vite la porte. Ils sont partis, plus personne dans le couloir, ni la cage d’escalier. J’ai très honte de ce qu’il vient de se passer. J’espère que les voisins n’ont pas entendu ! Après tout, je les ai débarrassés de ce squat. Et puis, ils m’ont quand même bien plu ces 5 lascars. 

D’autant plus que l’un d’eux a oublié son boxer sur mon lit. Je plonge la tête dans le fond du tissu, je respire à pleins poumons cette odeur d’entrejambe, au naturel, ainsi que ces quelques traces de sueur. Voilà mon nouveau doudou… 

Quelques jours après, j’aurai l’occasion d’en revoir un…

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