Mon frère Seb et son mari Nico sont venus chez moi un week-end de l’année dernière pour visiter la région où j’ai emménagé.
J’ai toujours été proche de mon frère et j’appréciais son mari. Il lui arrivait de flirter un peu avec moi, histoire de chambrer un hétéro célib. Il m’appelait souvent « beau gosse » et me complimentait sur mon physique (je fais pas mal de crossfit). Ça m’amusait car je pensais que c’était seulement de l’humour. Pour info, je n’étais pas fermé à l’idée de sexe avec un homme mais je n’avais jamais rien fait, les femmes me suffisant pleinement.
Ce samedi soir, comme souvent les soirs, je me lève en pleine nuit, la tête dans le cul, et me rend à la cuisine pour boire un peu d’eau fraîche. Je tombe alors sur le mari de mon frère, Nico, en t-shirt et boxer, qui avait visiblement eu la même envie. Il me remarque et je n’ai pas le temps de dire quoi que ce soit qu’un grand sourire se dessine sur son visage alors qu’il me fixe lourdement l’entrejambe. Je me rends compte alors que je suis nu devant lui (car je dors toujours nu).
Il s’approche alors de moi :
« Je vois clairement lequel de vous deux a été le mieux gâté… » soupire-t-il en me saisissant le sexe.
Pris de court, je ne sais pas trop comment réagir. Je me contente de dire :
« et Seb ? »
« On s’en fout là non ? » Dit-il en me branlant. En quelques secondes, ma bite se dresse comme jamais. Je ne pensais pas pouvoir être excité par un mec.
« Tu te pointes nu pour me tenter avec ta grosse queue et tu crois que rien ne va se passer, beau gosse ? »
Il s’agenouille alors et commence à prendre en bouche mon sexe. Je découvre une nouvelle facette de lui : la grosse salope ! Il y va avec énormément de fougue et d’énergie. Jamais, on m’a sucé comme ça. Il me fait un bien fou. Les mecs sont-ils tous aussi doués que lui à ça ?
« Ta bite est trop bonne, beau gosse… » gémit-il entre deux gorges profondes.
Il salive énormément et fait énormément de bruit. J’ai peur que mon frère risque de nous entendre même si la cuisine est un peu loin de la chambre d’amis.
Je reprends un peu mes esprits :
« Ce n’est pas bien, on devrait pas… »
Nico sort mon chibre de sa gorge, avec un air carrément provocateur :
« Dis-moi clairement d’arrêter et je me stoppe direct. Sinon ferme-la !»
Il est là, à mes pieds, des filets de bave sur le bas du visage, les yeux humides par ses gorges profondes, et je ne peux m’empêcher de penser qu’il est terriblement sexy. Je l’ai toujours trouvé très mignon mais là il est irrésistible. J’ai perdu toute volonté de lui dire stop. Au contraire, je laisse échapper un : « suce ma queue… »
Il ne dit rien mais sa grande satisfaction se ressent. Il ne se fait pas prier et reprend aussitôt son pompage d’expert. Plus du tout paralysé par la surprise et l’embarras, je deviens désormais actif dans notre ébat. Je lui attrape les cheveux, le biffle et lui baise la bouche. Il est plus que demandeur. Si toutes mes copines avaient pu être comme lui…
« Je veux ton jus » supplie-t-il en me présentant sa langue.
Il n’a pas à me le demander une seconde fois. Je me retenais depuis quelques minutes. J’éjacule dans sa bouche grande ouverte avec plusieurs gros jets de foutre bien épais. Il s’en prend un dans la gueule mais heureusement ses yeux sont épargnés.
On n’a pas le temps de dire quoi que ce soit qu’on entend soudain la porte de la chambre de mon frère s’ouvrir. Nu, je me réfugie en un éclair dans la cachette la plus proche : le placard à côté du frigo. Nico avale mon jus et se nettoie rapidement la salive et le sperme sur son visage à l’évier.
« Ah tu es là bébé ! » s’étonne Seb en rejoignant son mari.
« Ouais j’ai un peu de mal à dormir »
« Ah merde… attends je crois que tu as un truc sur le visage… »
Un truc ? Mon foutre sans doute… On risque clairement d’être grillé là.
« Ah ça doit être ma crème de nuit je l’ai mal étalée » explique aussitôt Nico. Je suis impressionné par l’excuse.
« Je sais pas pourquoi mais j’ai une grosse envie que tu me suces. » dit soudain Séb.
« Là ? Maintenant ? » réagit Nico.
« Ouais… Y a peu de risque que mon frère nous surprenne en pleine nuit. »
« Je… Ok si tu veux… »
Depuis le placard, je ne vois absolument rien. Mais je commence à entendre des bruits de pipe. Au son, la session de sexe oral a l’air moins vivante que la notre. A ma grande surprise, j’entends rapidement mon frère faire un gémissement bizarre. Il aurait déjà joui ? Je suis choqué. Quel looser…
« On va se coucher ? » demande mon frère.
« Vas-y toi, je vais rester encore un peu debout. Je pense pas réussir à dormir là »
« Comme tu veux. »
J’attends un peu avant de sortir de ma planque, histoire d’être sûr que mon frère soit retourné dans son lit.
Quand je sors du placard, il n’y a plus personne dans la cuisine. Nico a aussi disparu. Je bois mon verre d’eau et décide de retourner dans ma chambre.
Et là, sur mon lit, Nico m’attendait en me présentant son joli cul avec un fion bien dilaté, recouvert de salive. Il a dû se doigter pour se dilater en m’attendant.
Gros amateur d’anal, mon instinct prend le dessus et je l’encule direct, comme un automatisme. Il s’attendait peut-être à ce que je lui bouffe d’abord le cul. Désolé pour lui.
J’y vais sans retenue en doggystyle, ma position préférée. Nico mord le coussin pour étouffer ses gémissements un peu bruyants.
A un moment, il essaye soudainement de m’embrasser. Je suis surpris et je lui enfonce la tête dans un oreiller pour le repousser. Je remarque qu’il éjacule. Il y en a partout sur mes draps. Mais pour moi, on est loin d’avoir fini.
Je l’encule dans différentes positions. Je capte rapidement celles qu’il préfère. Après une session de baise très intense en position marteau piqueur, je finis par jouir dans son cul. Cela déborde de son trou.
Je m’écroule sur mon lit. Il quitte alors ma chambre sans s’essuyer ni dire un mot. Je me dis que mon frère risque de capter le sperme coulant de l’anus de son mari mais trop fatigué pour m’inquiéter je m’endors.
Le matin, je suis réveillé par une sensation au niveau du sexe. J’ouvre les yeux et j’aperçois Nico en train de me sucer à la lueur du soleil matinal.
« Tu as bien dormi, beau gosse ? » me demande-t-il en me léchant le gland.
« Ouais, ça allait… et toi ? »
« Pas trop en fait… je crois qu’on a un problème en fait. Je suis devenu accro à ta queue.
« Je vois… mais je pense pas que ce soit un problème en vrai. »
On se sourit tous les deux.
Au petit dej, on a été rejoint par mon lève tard de frère. Nico, lui, ne mangea rien, disant que je lui avais déjà donné une grosse saucisse et beaucoup de crème. Mon frère prit cela pour une de ses blagues habituelles. Il ne capta pas notre échange de regard davantage complice. Il ne capta pas non plus que Nico me branlait sous la table…
Et c’est comme ça que mon aventure avec Nico a commencé. Notre histoire est toujours d’actualité…
Suite à notre première baise ensemble, Nico et moi avons continué à nous voir plus ou moins régulièrement quand l’envie nous prenait. C’était plus souvent à son initiative mais je refusais rarement. Il prétextait souvent un déplacement professionnel pour venir en réalité me voir. Il m’est, de mon côté, arrivé d’avoir une copine lorsqu’il venait me voir mais je me débrouillais quand même.
Chaque fois qu’on se voyait, on baisait énormément. Malgré tout, notre relation n’était pas que physique, on s’appréciait vraiment. Voire des sentiments naissaient entre nous. Le savoir avec mon frère commençait à m’énerver. Par chance, je les voyais jamais ensemble. Cependant, pour un événement de famille (mariage d’une cousine), j’ai dû revenir dans ma ville d’origine et mon frère m’a proposé d’aller chez Nico et lui. Je sortais depuis quelques temps avec une fille mais ce n’était pas assez sérieux pour que je la mène.
Le jour de mon arrivée, je suis arrivé plus tôt que j’avais annoncé à mon frère et Nico avait posé sa journée pour qu’on se voit seul la journée.
J’avais réservé une chambre dans un hôtel dans une ville voisine (pour éviter de tomber sur des connaissances). Sur le trajet, alors que je conduisais, Nico s’impatientait déjà :
« J’ai trop envie de ta bite… » lança t-il avant de me baisser le survet pour me sucer passionnément.
Je suis plutôt bon conducteur mais je levais le pied par sécurité. Le séjour s’annonçait très prometteur. Mais, soudain, je reçois un appel par bluetooth de ma voiture. Je répondis en main libre. C’était mon frère :
« Salut Clem (Je m’appelle Clément ). Comment se passe le trajet ? »
« Ca va, ça va. Mais il me reste encore pas mal de route. Impatient de te voir mon frère et ton mari Nico ! »
« En fait, je t’appelle pour un sujet délicat et je veux que ça reste entre nous…»
« Tu m’inquiètes là… Dis moi. »
« Eh bien ça va sans doute te surprendre mais… Je pense que Nico me trompe. »
Je suis choqué. Je m’attendais pas à ce qu’il me dise ça. Nico, aussi, a priori vu qu’il vient de s’étouffer un peu avec ma queue.
« Comment ça ?! Qu’est ce qui te fait dire ça ?! »
« Je sais pas trop en fait. Ça ne lui ressemblerait pas en vrai. Je l’imagine pas vraiment aller baiser à droite ou à gauche. Il est pas très porté cul tu vois… »
Je ne sais pas si on parle du même Nico car là il a mes 19 cm profond dans la gorge. Je peux au moins témoigner qu’il est très porté sur ma queue.
« Il fait souvent des blagues cochonnes mais dans l’intimité crois-moi il est vraiment prude. Impossible d’essayer une éjac faciale par exemple pour te donner une idée »
Cela m’étonne énormément : je ne compte plus le nombre de fois où j’ai « repeint » son visage. J’ai quelques photos sur mon tel qui l’atteste d’ailleurs.
« Tu dois te faire des idées alors, Séb »
« Pourtant, je le sens différent… Peut-être me trompe-t-il sentimentalement alors. Dans tous les cas, peux-tu te montrer attentif pendant ton séjour chez nous et me dire ton avis sur mon mari ? »
« Oui bien sûr. Tu peux compter sur moi, mon frère »
« Merci, tu es un vrai frère. Au fait, depuis tout à l’heure, y a des bruits bizarres sur la ligne ou dans ta voiture. »
Je comprends qu’il doit entendre, mais pas de manière vraiment distinctes, les bruits de suce de Nico. Je bloque momentanément Nico en gorge profonde.
« J’entends rien moi. Ça doit être rien. Allez, à toute à l’heure »
L’appel terminé, je me sens submergé par la culpabilité vis à vis de mon frère et pleins d’autres émotions pour Nico. Tout se mélange et fait monter une énorme frustration en moi. Frustration que je porte sur Nico qui avait continué à me pomper pendant tout l’appel presque sans sourciller. Je garde une main sur le volant et je lui chope le crâne avec l’autre. Je me sers alors de sa tête comme d’un vulgaire sextoy sur lequel je me défoulerais. Nico est surpris au début mais se laisse faire. J’y vais vraiment franco mais il parvient à encaisser sans vomir. Il est vraiment très doué pour le sexe oral le « prude ».
Je finis par juter dans sa gorge. Il y en a tellement qu’il en recrache énormément salissant mon survet et l’intérieur de ma voiture. Je me gare alors sur le bas-côté (on est sur une route de campagne) et on nettoie avec des lingettes ma caisse. Pour mon survêt, Nico a une approche différente et tente d’aspirer avec sa bouche le sperme imprègne dedans. Le voir faire ça m’excite trop. Je le dessape et le pousse contre le capot. Je le retourne et lui lèche l’anus. Il est déjà bien dilaté, j’enfonce facilement ma langue profondément. Mais j’ai envie de lui faire du bien. Je veux l’entendre couiner grâce à ma langue avant de le faire vraiment crier avec mon autre organe.
« Putain que c’est bon… » gémit-il rapidement.
« Vas-y mets-moi la, beau gosse…! »
Je m’exécute aussitôt et lui pilonne son joli cul contre ma voiture. A chaque coup de rein, il laisse échapper des bruits qui feraient rougir une actrice porno. Ce n’est pas la réaction de quelqu’un qui est peu porté sur la chose. Ses bruyants gémissements m’encouragent à intensifier la baise. Il crie mon nom et non « beau gosse » comme souvent. J’adore. Je le fais s’agenouiller et lui jute quelques beaux jets sur le visage. Je le regarde, recouvert de sperme, et haletant suite à la sodomie, en train de me nettoyer la queue. Dire que mon frère, après toutes leurs années de relation, ne l’a jamais vu ainsi… Je me sens fier et chanceux.
« Dis-moi, pourquoi tu fais pas ces trucs avec Séb ? » je lui demande alors qu’on se rhabille.
« Cela ne se contrôle pas. Avec toi, je ressens des choses… différentes. »
« Quelles choses ? Est-ce que tu… m’aimes ? »
« Je… Je crois. Mais je suis con. C’est impossible avec toi… »
Sans réfléchir, je m’approche de Nico, l’attrape par le cou et le plaque contre la voiture :
« Impossible tu crois ? »
Je l’embrasse alors comme je n’ai jamais embrassé personne. Je me lâche complètement. Cela faisait un moment que je retenais tout ça. Le désir entre nous n’est pas que physique.
« Tu sais, je suis prêt à assumer une relation avec un homme. Je suis aussi prêt à assumer NOTRE relation même face à mon frère et ma famille. A toi de voir si tu veux la même chose. »
« Je… j’aimerais c’est sûr. Mais j’aime Séb. On a vécu tellement de choses. Je ne pense pas pouvoir le quitter. Mais je ne veux pas te perdre pour autant. »
« Ok je vois. »
Son aveu me refroidit énormément mais je comprenais quand même sa situation. On ne se rendit pas à l’hôtel : il se faisait déjà un peu tard et j’étais déçu de sa position quant à notre relation.
On arriva à l’appartement de Séb et lui ensemble. On prétexta s’être croisé en bas de l’immeuble. On avait un peu d’avance et Seb était avec un jeune homme inconnu dans le séjour. Ce dernier ressemblait beaucoup à Nico en plus jeune et plus efféminé mais tout autant mignon.
« Ah Clem, te voilà ! Je te présente Anthony, le frère de Nico » s’exclama Séb.
Le dénommé Anthony s’avança vers moi en me regardant de haut en bas, les yeux coquins.
« Enchanté. Tu peux m’appeler Antho. Tu dois être le fameux « beau gosse » je suppose… »
Il prit alors ma main et, à notre surprise à tous, commença à me sucer vulgairement deux doigts. Je regarda aussitôt vers Nico qui était rouge de colère. Je m’amusais de sa jalousie (mal placée vu notre dernière discussion) en jouant le jeu avec Anthony :
« Belle technique. Ça donne envie d’en voir plus… »
« T’inquiète pas beau gosse. Tu verras, avec moi, on ne s’ennuie pas… »
Effectivement, je vais découvrir assez vite qu’avec Antho, les surprises n’étaient jamais loin.