Mouss party

Un quinquagénaire se débride lors d'une mousse party au sauna, où il reçoit queues à offrir sans modération

Pour finir ma petite semaine de vacances, je décide de m’encanailler au sauna ce dimanche, d’autant plus qu’il organise chaque début de mois une mouss party bien chaude.

J’arrive, me desappe au vestiaire et en ressors avec un simple cockring, le cul (enfin le trou) enduit d’un gel au beurre de karité à la fois lubrifiant réparateur et protecteur (ça va être utile.

Je commence à traîner au hammam où les gars sont trop sages pour moi. Le dimanche d’avant, j’y étais, assis sur un mec qui m’avait déjà défoncé deux fois dans la zone gloryhole. Le spectacle avait permis à l’assistance de se branler copieusement en me regardant jalousement me faire défoncer puis jouir à force de sauter sur la magnifique queue (au moins 18 cm large et plate).

Là, le calme relatif m’amène vers la backroom principale. Je me frotte aux hommes en chasse. Je sens des mains qui me branlent, des bouches qui me sucent, des doigts qui fouillent mon Q. Je présente mon Q dans le noir à toute queue raide qui se présente. Un daddy tente deux fois de me pénétrer mais son érection était insuffisante. Un autre à la tige longue et fine couverte d’une capote (c’est rare ici) est très heureux de me pénétrer et me secouer quelques minutes. Enfin un homme costaud avec une queue pas très longue mais épaisse m’attrape, me penche et me laboure avant de me proposer de continuer en cabine. 

Nous trouvons une mini-cabine avec matelas en hauteur où je me mets à 4 pattes. Mon daddy à la barbe courte et blanche me demande si j’aime et désire me faire bouffer la rondelle. Mais j’adooore ça !!! Mon cul alternera entre sa langue et sa queue pendant un bon quart d’heure sous mes gémissements. 

Je tente ensuite le sling. Trois doigts entreront et tenteront un passage en force mais j’évite le fist pour me préserver (suis déjà assez ouvert). En sortant dans le couloir, je constate que la mouss party a commencé. Je passe vite fait au vestiaire chercher un équipement bien utile : mes lunettes de piscine. 

Imaginez une pièce vitrée de 10-12m carré ou un tuyau de mousse coule du plafond. La mousse monte haut dans la pièce. Une dizaine de mecs y tournent déjà. Ça se frôle, ça se touche, ça se caresse. Je palpe à peu près toutes les queues. D’autres mecs arrivent. Armés de mes lunettes, je plonge penché en deux ma tête dans la mousse. Je suce plusieurs queues tandis que des mains me caressent. Quelques grands trentenaires un peu méprisants me repoussent. Tant pis pour eux, leurs bites étaient quelconques (et toc !). Je retrouve un ami du sauna que je n’ai pas vu depuis plusieurs mois. On s’embrasse, il raidit assez vite car mon cul lui a manqué. Il me baise dans la mousse 2 ou 3 fois en alternance avec un autre mec. Que c’est bon ! Contre le mur, je découvre un beau brun hyper raide. Enseveli dans la mousse, je le suce goulûment (merci les lunettes de piscine). Je me relève, me retourne, il me pénètre facilement et profondément. Je me dandine sur sa queue un sacré moment. Il gémit, je kiffe. On ne veut pas que cela s’arrête.

Puis une pause devient nécessaire, ma rondelle est décapée à la mousse. Un grand gaillard qui m’avait presque déchiré la rondelle un mois auparavant vient rigoler et se moque de mes lunettes. Sa queue est quasi la plus grande et large que j’ai jamais reçu, façon courgette. Il est cependant en mode passif ou a déjà joui. C’est moi qui le prend dans la mousse. Il ressent avec plaisir mon anneau amovible de gland. Je me retire pour ne pas jouir, sinon fini la sodo comme passif. Je retrouve mon beau brun qui me lime encore un peu. Dommage pour moi, il se videra dans le cul suivant qu’il baisera. Je choppe encore un daddy puis une grosse queue avec un cockring en métal. Je retrouve mon beau brun sous la douche de mousse. Je réveille sa queue et me la réintroduit un peu. Mais ayant déjà jouit juste avant, nous terminerons par un simple tendre câlin. Il avait adoré mon cul. Mon ancien pote m’avouera m’avoir dosé dans la mousse avant que le beau brun me prenne. C’est pourquoi mon conduit devait être délicieusement lubrifié. 

C’était un bel après-midi. 

A refaire le mois prochain.

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