Ma famille maternelle avait pour habitude de louer une salle des fêtes pour les anniversaires importants dans le patelin de mes grands-parents. Lors de l’anniversaire de mes 18 ans, c’est tout naturellement que nous avons décidé de faire ma fête d’anniv’ dans ce petit village du Berry, région où se trouve une grande partie de ma famille. A l’époque, ils savaient tous depuis 3 ans que j’étais gay et cela n’avait posé aucun soucis (je sais, je suis chanceux).
Me voilà donc entouré d’amis de Paris et de ma famille pour célébrer ma majorité obtenue réellement 2 semaines auparavant.
Par souci de logistique, mes amis et moi dormions après la soirée dans la salle, sur une grande mezzanine aménagée en dortoir de fortune.
La soirée se passe très bien, ça rit, ça chante, ça boit, etc…
Moi je suis sobre, je ne bois pas.
Arrive le moment où les derniers membres de ma famille partent (mes amis, tous torchés, dormaient déjà profondément à l’étage).
Il s’agissait de ma tante (sœur de ma mère) et de mon oncle par alliance.
J’ai toujours fantasmé sur ce mec !
C’est un routier, assez grand (+d’1m95) avec de larges épaules, des bras musclés grâce à ses marchandises de transport, dans la quarantaine à l’époque mais surtout ce qui me rendait fou c’était ses pieds !
Aussi loin que je me souvienne, j’ai toujours été attiré par les grands pieds de mecs. Plus jeune, je m’amusais à perdre des faux paris avec mes cousins pour leur lécher les pieds en faisant le dégoût, je volais même les chaussettes de mon oncle pour les renifler en me branlant. Bref, c’est pour dire que j’avais toujours rêvé de me retrouver sous ses pieds pointure 48.
Je m’apprête à dire au revoir à mon oncle et ma tante quand cette dernière me prévient que pour rassurer mes parents, mon oncle s’était proposé de rester avec « les jeunes », comme elle disait.
« D’accord pas de soucis mais du coup il ne reste plus de matelas libre, tu vas être obligé de dormir avec moi Tonton. »
« C’est pas grave, ça me rappellera des souvenirs », rigola-t-il.
Une fois que mes parents et ma tante étaient partis, mon oncle et moi commencions à faire un peu de rangement car une bonne partie des convives revenait le lendemain midi pour finir les restes.
Une fois fini, il me proposa une clope.
Nous étions en février et le froid de la nuit était assez mordant, je lui proposais de fumer dans la cuisine de la salle des fêtes (qui, comme par hasard, était à l’opposé de la mezzanine)
Dans la cuisine, on commença à papoter.
« Alors ça fait quoi d’être enfin majeur ? »
« Mise à part le fait que les parents vont enfin supprimer les contrôles parentaux sur mon ordi et mon téléphone, rien ne change vraiment », plaisantais-je.
« Tu vas pouvoir t’en donner à cœur joie avec les mecs. »
« C’est vrai que je n’avais pas pensé à cela », en lui adressant un clin d’œil.
« Au fait, je t’ai pas offert mes cadeaux. »
Je le regarde un peu surpris et je le vois retirer sa chaussure gauche, ôter sa chaussette et me la tendre.
« J’ai remarqué que tu aimais bien te faire plaisir avec mes chaussettes. »
A mon avis, mon visage a dû devenir rouge de honte.
Mais j’ai même pas eu le temps d’essayer de trouver une excuse ou un mensonge à lui sortir qui me plaqua le visage dans la chaussette avec sa main libre à l’arrière de mon crâne.
« T’imagine même pas depuis combien de temps j’attends ta majorité pour te faire ça ! Je vais te foutre à mes pieds, ma petite voleuse. »
Cette dernière phrase avait presque été chuchotée à mon oreille. J’hallucinais ! Mon oncle, ce mec sur qui j’avais fantasmé toute ma jeunesse, était en train de me faire renifler son odeur en me dominant. Mon rêve absolu.
Au bout de 10 minutes à me plaquer sa chaussette au visage, il m’allongea par terre et parti chercher une chaise qu’il plaça au-dessus de moi (les pieds de la chaise de part et d’autre de mon torse), il s’installa, retira sa dernière chaussure et sa dernière chaussette puis me plaqua ses pieds sur mon visage.
« Alors il est pas mal mon premier cadeau ? Depuis le temps que tu en rêves ? Lèche-moi mes grands pieds ! »
J’étais comme un fou. Je me suis mis à lécher ses pieds sans pouvoir bouger, bien soumis à lui, je passais ma langue entre ses orteils. De temps en temps, il appuyait sur mon visage avec un peu de force en me rappelant que c’était ma place, par terre, à lui servir de repose pieds pour ses grands panards.
Au bout d’une demi-heure, il se leva et en restant au-dessus de moi, une jambe de chaque côté de ma tête.
« C’est l’heure de ton deuxième cadeau. »
Et là, il sortit son énorme bite de son jean.
Je ne lui ai jamais demandé ou même mesuré moi-même mais elle doit faire un bon 21/22 cm et très large (7/8 cm je pense). La seule chose que j’ai réussi à lui dire pendant que je me mettais à genoux :
« Tu ne fais pas que du 48 aux pieds bordel ! »
Il me regarda avec un rictus bien viril et me répondit :
« Tu vas t’en souvenir de tes 18 ans. »
Et il fourra sa queue dans ma gueule.
Jamais de ma courte vie je n’avais pompé une queue aussi grosse, mais le fait de réaliser mon fantasme le plus fou me fit oublier l’effort surhumain que j’ai dû faire pour le prendre en gorge. Et ça lui plaisait apparemment. Il commença des va-et-vient en me tenant la tête avec ses grandes mains tout en m’insultant. J’étais au paradis. De temps en temps, il sortait sa queue pour me bifler (enfin vu la bête, j’avais plus l’impression de me prendre un coup de poing à chaque bifle) ou pour me faire bouffer ses crachats. Après un petit moment, je l’ai entendu commencer à râler de plaisir.
« Continue comme ça, je vais te remplir la gueule là. »
Alors je me suis mis à redoubler d’efforts pour le satisfaire du mieux que je pouvais. Et bien-sûr, mes efforts ont porté leurs fruits.
Dans un grand dernier coup de reins, mon oncle me déchargeait tout son jus en fond de gorge. Une bonne grosse dose bien épaisse. Je bouillonnais dans mes vêtements. J’étais bien trop occupé à satisfaire mon oncle que j’avais même pas commencé à me toucher. Et il l’avait bien vu car au moment où je commençais à me malaxer le paquet, il me dit :
« Attends, j’en ai pas fini avec toi. »
Je me suis retrouvé le dos adossé contre le plan de travail de la cuisine avec un de ses pieds sur ma queue et l’autre sur ma gueule. Je compris rapidement que son but était de me refoutre à ses pieds le temps qu’il rebande.
« Des années que j’attends cela comme je t’ai dit. Je t’ai rempli la gueule et maintenant de vais te remplir le cul ma lope »
Là, j’ai pris peur. J’avais déjà eu du mal à gober sa queue alors j’imagine pas dans quel état mon cul allait s’en sortir. Une fois son pied ôté de mon visage, je voulais protester à contre cœur mais je l’ai vu sortir un gel lubrifiant noir qui est fait exprès pour relaxer, détendre l’anus.
De toute façon, je n’avais pas mon mot à dire, cela faisait des années qu’il avait compris qu’il pourrait faire ce qu’il voulait de moi apparemment.
Il me mit à plat ventre sur le plan de travail et commença à me travailler le trou avec ses doigts et son lubrifiant. Je me félicitais d’avoir été prévoyant et de m’être préparé le cul avant de venir à la salle des fêtes, en espérant finir avec un de mes amis qui est aussi un sexfriend.
Tout en me doigtant, il s’allongea sur mon dos et me chuchota des insultes à l’oreille afin de bien m’exciter tout en me collant une de ses chaussures sous le pif.
Il me travailla le cul pendant bien 20 minutes avant de commencer à frotter son gros gland sur mon trou.
Je ne tenais plus, tout mon corps tremblait d’excitation.
Il me fourra ses chaussettes dans ma bouche afin que je ne couine pas trop fort et ne réveille les dormeurs, puis me pénétra doucement.
C’est la première fois de ma vie que j’ai eu autant de plaisir à avoir si mal.
Une fois bien installé dans mon cul, je l’entendis me dire :
« Putain, tu es super serré ! Des années que j’attends de pouvoir te défoncer ton joli petit cul. Je vais te détruire. »
Et il commença ses coups de reins.
Pas une seule fois sa queue n’as pas touché ma prostate. J’étais comme dans un état second, presque en transe. C’était à la limite du trop. Chaque coup de queue était comme si je jouissais mais puissance 10. Et ça, il l’avait aussi bien compris, il accéléra la cadence et au bout de 20 min, après m’avoir relevé la tête pour lui rouler une pelle, il me fit comprendre qu’il allait jouir. J’ai senti alors sa grosse bite se contracter et il se libéra pour une deuxième fois dans mon cul cette fois-ci.
« Oh putain tu es vraiment trop bonne ma lope ! Je vais jamais vouloir sortir de ta chatte ! »
Il continua à me bourriner tout en me forçant à renifler ses chaussures, ses chaussettes toujours dans ma bouche.
« Tu sens comme elle est encore dure la ? Elle est tout à toi ! Sors ton paquet maintenant. »
Je compris que c’était à mon tour de me vider. Je commençais à me branler quand tout à coup, toujours en m’enculant, il se saisit de ma queue, nettement moins grande que la sienne et me branla.
« C’est ton anniversaire après tout. Concentre-toi sur ma queue en toi et ma pompe sur ta gueule. »
Je mis très peu de temps à jouir tellement ses coups de reins me rendaient fou. Une fois ma queue vidée, il ne se retira de mon cul qu’une fois sa queue au repos.
« Je le savais que tu serais une bonne chienne docile. Alors, content de tes cadeaux ? »
« Ce sont les meilleurs que je n’ai jamais eu », lui répondis-je encore essoufflé et tout transpirant.
Ensuite, nous avons fumé notre fameuse clope comme convenu au départ et puis nous sommes allés nous coucher, en tête bêche comme j’ai l’habitude de faire avec mes amis. Dans la nuit, j’avais souvent un pied qui atterrissait sur mon visage.
Nous n’avions plus reparlé de cette nuit-là mais 2 semaines plus tard, il m’appela en m’expliquant qu’il avait une livraison sur Paris et qu’il se viderait bien dans « sa petite voleuse de chaussettes ».
Aujourd’hui, des années après, à chacune de ses livraisons dans le coin, il en profite pour me baiser au passage et moi à chacun de mes séjours dans le Berry, je me retrouve sous ses pieds.